Une belle expérience BDSM. Un merveilleux objectif pour une retraite bien méritée.
Jean-Marc a pu bénéficier d’un départ en retraite anticipée ayant commencé à travailler très jeune. Divorcé depuis dix ans, c’est le jour de son pot de départ qu’il prit la décision de quitter Paris pour aller vivre en province dans la région ou il possède une petite maison de week-end.
Actif, il imaginait pouvoir enfin s’adonner à ses différentes passions en particulier la construction de maquettes volantes radiocommandées.
Depuis son divorce en dehors de deux ou trois aventures, Jean-Marc n’avait pas vraiment su reconstituer une vie affective du fait de son implication professionnelle élevée dans l’entreprise. Très apprécié pour sa disponibilité dans un métier difficile, Jean-Marc savait très bien que concilier son job avec les exigences légitimes d’une femme au plan des sorties et distractions l’aurait directement conduit à l’échec.
De plus, Jean-Marc au fond de lui-même n’imaginait pas pouvoir trouver son bonheur en fréquentant un catalogue de femmes avant de pouvoir trouver celle avec laquelle il pourrait sceller une union durable.
Jean-Marc avait déménagé et avait décidé de vendre son appartement afin de se constituer une jolie rente pour améliorer son niveau de vie de retraité sans enfant. Six mois après avoir quitté l’entreprise il était maintenant confortablement installé dans sa maison après avoir placé ses économies à l’étranger.
Jean-Marc n’avait pas pu s’épanouir durant toutes ces années de mariage. Son épouse, une femme aux idées très arrêtées issue d’un milieu de banquiers grands bourgeois lui avait toujours refusé toute fantaisie au plan sexuel alors qu’il était souvent demandeur. Nombre de fois, alors que Jean-Marc essayait de lui tendre la perche, cette dernière se bloquait prétextant qu’elle était une femme sérieuse et qu’elle n’était pas une prostituée. Les demandes de Jean-Marc n’étaient pourtant pas bien compliquées encore moins perverses. A plusieurs reprises et avec à chaque fois un échec à la clef, il essaya de faire comprendre à sa femme qu’il là souhaitait autoritaire aussi bien au lit dans leurs jeux, que dans la vie quotidienne, allant jusqu’à acheter des romans et publications en rapport en boutique spécialisée. Une année il eut même l’idée de placer sous l’arbre de Noël une très belle cravache en cuir fabriquée en Espagne par des artisans espérant ainsi un résultat…
Ce dernier et maladroit achat ne fit qu’installer un malaise durable dans le couple. Sa femme lui demanda même s’il ne fréquentait pas des spécialistes en la matière avec l’argent provenant de ses nombreuses primes.
Un dimanche, Jean-Marc se rendit dans son garage là ou était stationnée son auto, décidé cette fois à faire un grand rangement en laissant maladroitement son téléphone portable trainer dans la chambre du couple.
De retour à l’appartement en fin de matinée, son épouse lui ouvrit la porte avec un visage glacial et avec larmes aux yeux.
« Cette fois j’ai compris qui tu étais, j’ai mis des années pour le découvrir. Ce que j’ai vu dans ton téléphone est horrible, absolument abominable. J’avais eu parfois quelques doutes mais cette fois c’est confirmé. Tu n’es qu’un grand pervers sexuel. Ces images de prostituées frappant des hommes avec un fouet, c’est insoutenable, au même titre ces hommes nus comme des esclaves à genoux devant ces jeunes femelles de cuir vêtues, c’est affreux. Je puis t’affirmer que notre vie sentimentale est totalement brisée, je n’ai plus pour toi qu’un dégoût profond et dés demain je contacte mon avocat Maître P… pour faire démarrer notre séparation puis notre divorce. J’ai téléphoné à Papa qui m’a conseillé de faire vite et il va m’aider. Sois rassuré, je ne suis pas femme d’argent, je ne te demanderai rien. Tu sais que non seulement j’ai une situation très enviable, je n’ai jamais fait la charité et de plus j’appartiens tu le sais à une famille très aisée. Les choses iront donc très vite. Ce soir et jours suivants j’irai dormir à l’hôtel où chez Marie – Bénédicte afin que tu puisses bien te masturber en regardant ces belles images ! De plus, je n’évoque même pas les numéros de téléphone bizarres dans tes contacts avec des codes »
Jean-Marc dans l’impossibilité de répliquer, face au réel, comprit que cette fois connaissant Marie-Madeleine il n’était plus question d’espérer quoi que ce soit. Jean-Marc fit tout de même une ultime tentative en prétextant qu’il s’agissait avant tout d’un jeu et qu’une multitude de couples s’adonnaient à cela et bien souvent chez les gens bien nés et très argentés. Profondément ulcéré par une attitude aussi bloquée, Jean-Marc finit par exploser en disant qu’il ne voulait pas pourrir le reste de ces jours avec une personne aussi fermée et d’ajouter : « Ton père banquier n’aura aucun mal à te trouver un prétendant tout aussi bloqué que toi ne pensant du soir au matin qu’à ses chiffres et bénéfices et à la position du missionnaire » . En l’espace de trois mois, l’affaire menée tambour battant par les deux avocats de sa famille, Marie – Madeleine avait totalement disparu de l’univers de Jean-Marc.
Maintenant en retraite et dix ans après les évènements, Jean-Marc assis dans son fauteuil près de la cheminée de sa petite maison relisait le jugement de divorce ainsi que les attestations mensongères fournies par une quantité importante de personnes dont la plupart n’avaient approché le couple que de très loin.
Souvent en ligne avec une ancienne copine de fac devenue au fil du temps confidente, Jean-Marc après avoir longtemps tourné autour du pot, finit par enfin lui expliquer la réalité de son divorce sans apporter trop de détails au début.
Puis, de passage à Paris pour motif administratif et lors d’un diner autour d’une bonne bouteille il expliqua à Micheline son attirance pour les femmes de tempérament , autoritaires et directives.
Cela amusa beaucoup Micheline laquelle se permit d’indiquer à Jean-Marc qu’il n’y avait vraiment pas de quoi en faire un drame et que cette situation était plus que courante, même sympathique et amusante. Elle ajouta qu’à l’inverse beaucoup de femmes recherchent à vivre avec des mâles dominateurs.
« Je te conseille mon cher Jean-Marc de t’inscrire sur un site de rapprochement sérieux et spécialisé. Il y en a, et il y a aussi plein de femmes de caractère qui recherchent un homme et souhaitent tout diriger dans le foyer. Si c’est ton souhait c’est très bien, et tu trouveras. Si tu le souhaites tu me feras passer les réponses et je te donnerai mon avis, tu sais que j’ai fait du recrutement pendant près de quinze ans pour le groupe V….. Tu en trouveras qui se bornent à une autorité simple, d’autres sont de véritables Maîtresses souvent cruelles et là tu seras pris en main comme tu sembles le vouloir. Tu as raison, il faut vivre pleinement tes fantasmes ».
De retour en province, Jean-Marc sur les conseils de son amie réalise une première sélection de sites spécialisés lui paraissant plus ou moins sérieux. Une immense excitation commence à l’envahir lorsqu’il parcourt les profils de ces dames. Très organisé, il adresse à Micheline des captures d’écran et des liens informatiques afin que cette dernière lui donne un avis. Durant deux mois, Micheline dévouée à son ami opère une vraie sélection ce qui permet à Jean-Marc de prendre des contacts.
Un nombre important de personnes sont écartées mais après plusieurs échanges une certaine Martine apparait comme ayant le profil qui conviendrait très bien à Jean-Marc, de plus vivant au plan régional assez près de son domicile.
Deux semaines s’écoulent et après de nombreux échanges, Martine et Jean-Marc finissent pas se retrouver un soir pour diner dans une brasserie réputée de la région.
Martine semble toiser Jean-Marc lorsqu’elle s’adresse à lui la première fois. Une femme au visage très sec, assez grande à l’allure sportive paraissant musclée. Cette dernière commence à soumettre Jean-Marc à un véritable questionnaire détaillé à la suite de quoi elle prend la parole pour parler d’elle.
« Je suis une femme extrêmement directive et dure autant te le dire immédiatement. Je crois savoir d’après nos échanges que c’est le but de ta recherche. J’envisage une liaison dans la durée, je ne suis pas là pour m’amuser. La personne avec laquelle je vais signer un contrat d’appartenance sera placée sous ma coupe et mon autorité, je souhaite une liaison basée sur la gynarchie. Je suis une technicienne en la matière et j’ai beaucoup d’expérience. Après plusieurs années passées avec différentes personnes soumises plus ou moins sérieuses je souhaite maintenant me sédentariser avec un homme qui sera mon soumis-esclave. Pour moi tu seras mon sujet et non mon compagnon et tu seras rééduqué de A à Z comme il se doit. Ce qui m’attire chez toi c’est que tu es novice et que tu es fétichiste des pieds. A ce stade je ne puis pas être plus précise il me semble. Pour ton information j’étais entraineuse sportive niveau olympique dans différents pays »
Une terrible excitation parcourt le corps de Jean-Marc. Le regard d’acier de Martine semble maintenant lui traverser le visage comme un rayon laser. Jean-Marc est dans la situation du gros gibier pris dans un filet et pourtant il nage dans le bonheur lorsqu’il entend les paroles de cette femme.
Subjugué il ne pose aucune question. Paralysé il fixe les yeux de Martine.
« Tu n’as pas de question, c’est très bien, c’est un bon début. Je te laisse réfléchir mais pas trop longtemps car les candidats ne manquent pas tu le sais. D’autre part, un détail : élection de domicile chez moi impérativement, tu seras avec moi 24h/24. Néanmoins tu conserveras ton domicile dans l’hypothèse ou je voudrai me débarrasser de toi un jour. Nous habitons à 40 kilomètres comme tu le sais. Tu verras ma maison est grande, tu y seras à l’aise. Pas de déménagement je t’indiquerai ce que tu devras apporter »
Martine avant de se lever commande un second café au garçon.
« C’est un beau projet que de vouloir vivre en gynarchie et je pense que tu seras heureux à mon contact. Tu oublieras vite le passé car avec moi tu vas être totalement transformé et en immersion dans mon autorité. A partir du jour ou tu seras décidé à entrer en rééducation tu devras m’appeler Maîtresse, et parfois ce sera Cheffe Martine. J’espère que c’est clair. Un dernier détail car j’aime être précise, j’ai un amant qui vient assez souvent, tu vas devoir t’y habituer et tu devras être très courtois avec lui ».
Jean-Marc introduit la clef de contact de sa limousine pour rejoindre son domicile. Il fait encore assez frais en cette saison, il est tard et pourtant il est en pleine transpiration.
Il repense alors à son épouse, elle lui apparait alors en pleine face, son image précise se dessinant maintenant clairement sur le pare brise de l’auto : « Te voilà content et heureux, tu viens de trouver une sale putain professionnelle avec laquelle tu vas pouvoir faire toutes tes saloperies, je te félicite. Mon pauvre Jean-Marc tu es véritablement un gros pervers, je ne me suis pas trompé ».
Le lendemain, un peu avant 10h00, Jean-Marc fébrile, adresse à Martine un SMS lui signifiant son accord et prévient Micheline. Pour toute réponse ce sera : « Tu te présenteras mardi à 11h00 précises devant les grilles de ma maison dont l’adresse suit. Je t’y attendrai. Sois très ponctuel. Ta voiture pourra stationner dans l’un des garages. Tu recevras ce jour une liste d’effets à apporter avec toi et je te conseille de ne rien oublier. Bonne journée esclave.
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Quatre ans se sont écoulés depuis cette fameuse journée où Jean-Marc a franchit la grille de la propriété de Martine avec ses deux sacs de voyage.
Il est encore très tôt ce matin là, nous sommes au cœur de l’hiver. Jean-Marc logé dans une petite pièce mansardée mal entretenue et humide, reprenant les dimensions classiques des chambres de bonnes du 19eme siècle savoure encore les quelques minutes d’un précieux repos. Dans quelques instants, il devra se lever, il est 5h25.
Alors, entièrement nu, Jean-Marc revêtu d’un cache sexe transparent en matière synthétique lequel dissimule à peine la très lourde cage de chasteté de métal dont le modèle est imposé par Martine, chausse ses baskets réglementaires pour attaquer ses corvées dans la grande cuisine du rez-de-chaussée.
Il commencera alors par consulter la liste des travaux domestiques que Martine a prescrit hier soir avant d’aller dormir, inscrits sur la grande ardoise de communication que le soumis- esclave doit impérativement lire chaque matin au réveil sous peine de sanction. La journée semble bien remplie mais Jean-Marc est habitué. Il est maintenant parfaitement rééduqué.
Dans une heure il préparera le petit-déjeuner de sa Cheffe qui exige d’être servie au lit. Tout un protocole complexe a été mis en place portant sur la disposition précise des ingrédients composant le repas du matin et portant même sur le positionnement des couverts. A un horaire précis, Pénis puisque c’est le sobriquet attribué à Jean-Marc, doit se présenter à genoux aux pieds du lit de sa Cheffe.
Après avoir posé le plateau sur une élégante table ancienne, il doit relever délicatement l’extrémité des draps et des couvertures pour embrasser et lécher les pieds de Cheffe Martine qui exige ce rituel de soumission totale avant de boire son café.
En l’instant, le plus urgent semble être de ranger silencieusement la cuisine car hier soir Martine a souhaité que Pénis reste en station à genoux, mains sur la tête, près d’elle et tête basse comme elle a l’habitude de pratiquer pendant qu’elle lit un roman.
Martine ne supporte pas d’être réveillée par des bruits de casseroles, nombre de fois Pénis aura été très sévèrement puni à ce sujet.
La liste des corvées est importante et la journée entière y sera consacrée, Martine a noté sur la grande ardoise : privation alimentaire à midi et plug numéro 2 toute la journée. En effet, c’est également Martine qui décide du régime alimentaire de son esclave.
L’ensemble de la maison étant relié à un système de caméras vidéo multifonction, Jean-Marc connait parfaitement les conséquences engendrées par un vol de nourriture, ayant eu la mauvaise idée de chaparder dernièrement un biscuit. Ce matin il sait qu’il est autorisé à boire son bol de café et deux tartines avec des compléments alimentaires imposés. Ce matin il sait aussi que sa première mission sera d’aller faire le ménage complet dans le donjon, là ou en règle générale sa Maîtresse le punit en cas d’indiscipline. Les deux premières années Jean-Marc a dégusté et il connait chacun des instruments accrochés sur le présentoir mural. Une dizaine de cravaches, différents paddles et alignées sur une étagère de belles cagoules en cuir utilisées pour les mises à l’isolement. Dans un angle un siège utilisé pour des immobilisations très particulières.
Devenu très souple et totalement maté, sa Maîtresse maintient tout de même sur lui un niveau disciplinaire très élevé et selon son humeur pouvant subitement augmenter et cela sans prévenir.
Toujours sur la grande ardoise il peut lire : Faire mon lit à fond, nettoyage de ma voiture avec ta blouse, repassage, lavage sol cuisine, ménage complet donjon, préparation de mes repas. En soirée tu passes à la tonte. Equipement du jour pour tes corvées : plug numéro 2, bas, jarretelles fantaisie, baskets et prothèses mammaires. Présentation à 9h15.
Vers 11h00 et en plein travail, Jean-Marc en pleine transpiration est appelé. Il sait qu’il doit immédiatement tout arrêter et venir se placer à genoux devant sa Cheffe ses bras croisés dans le dos. Tenu et tiré à genoux sans un mot par le gros collier de cuir qu’il porte en permanence, Pénis se retrouve soudainement face aux cuisses écartées de sa Maîtresse qui lui ordonne : « Maintenant tu lèches avec une langue bien dure ! « . Pénis est bien dressé et est familiarisé avec ce genre de situations. Il fait dans sa tête un rapide bilan se disant qu’il a tout de même beaucoup de chance de vivre cela. Face à ses yeux, le sexe béant de Martine au goût de noisette, chaud, humide, lisse et majestueux sur lequel pénis doit appliquer son visage pour le plus grand plaisir de sa Cheffe. Pénis a été éduqué à placer correctement son nez sur le clitoris de sa Maîtresse et de bien tendre sa langue pour une pénétration parfaite. Après une dizaine de minutes à se délecter du souffle court de sa Maîtresse, Pénis est rejeté comme un chien et se voit ordonner de reprendre immédiatement ses corvées sur un ton sec et dominateur.
« Tu te tournes et me présentes ton anus je souhaite voir ton plug »
A 17h, fatigué par une dure journée de labeur, Pénis apporte à sa Maîtresse le nécessaire pour la tonte qui est un rituel se renouvelant chaque quinzaine.
« Ce soir tu mangeras à la gamelle au sol car je souhaite te placer pour un mois en discipline renforcée afin que tu ne perdes pas les bonnes habitudes. Tu es puni car je n’ai pas pu jouir ce matin et je suis très en colère. Tu vas donc le payer. Tes autorisations de sortie sont supprimées ainsi que ta purge. On verra ça plus tard. D’autre part demain Jacques vient diner et passera la nuit ici, tu nous serviras en tenue habituelle au petit salon bien maquillé avec tes nouveaux escarpins et ta perruque noire »
Jean-Marc totalement souple au bout de quatre années de rééducation se contente de répondre : « Oui Maîtresse, c’est compris Maîtresse ! »
» Au boulot et vite !!! »
Martine nous le savons a fait carrière dans l’univers du sport de haut niveau. Aussi, dans une petite pièce de sa demeure s’est t’elle faite installer un banc de musculation, un magnifique vélo d’appartement et un tapis de gymnastique.
Elle s’oblige donc à faire deux après-midi d’entrainement par semaine. Elle a souhaité en faire bénéficier son esclave et depuis quatre ans Pénis travaille régulièrement plusieurs fois par semaine sous les ordres de Martine qui en profite pour exercer encore un peu plus son autorité sur lui.
Jean-Marc qui ne pratiquait aucun sport y a pris goût grâce à sa Maîtresse qui l’entraine à la dure et sans broncher. De la même manière, Jean-Marc accompagne régulièrement sa Maîtresse faire un long footing dans la forêt voisine. Comme on l’imagine toutes les séances citées procurent à Martine l’occasion d’exercer une autorité totale sur son soumis – esclave qui est aussi noté pour son implication dans le sport.
Un rituel a été mis en place à chaque retour de footing. Martine s’installe sur son fauteuil trône près de sa chambre en prenant soins de bien salir le carrelage et l’escalier avec ses baskets de compétition pleines de terre et lit un magazine de mode. Devant elle, Pénis entièrement nu et très habitué à cette tradition, s’active à genoux à la déchausser avec délicatesse, puis à lui retirer ses chaussettes humides de transpiration. Ensuite, Pénis avec différentes crèmes réalise sur les pieds de sa Maîtresses de délicieux massages pour la soulager. Parfois, Martine se baisse, attrape l’une de ses chaussettes sales en souriant et ordonne à Pénis d’ouvrir grand la bouche.
« C’est très bon pour un fétichiste des pieds frustré comme toi, délectes toi, ça activera bien ta libido mais sois rassuré la purge ce n’est pas pour demain ! »
Lorsque Martine note un manquement dans les corvées c’est immédiatement les paires de gifles en séries qui tombent et direction le donjon pour une reprise en main. Pénis est familiarisé et n’a plus de réaction. Ces seules paroles sont : « Merci Maîtresse « . Quatre années ont fait de Jean-Marc un soumis exemplaire, une véritable serpillère comme le dit et le souhaite Martine. Depuis l’an passé c’est Martine qui a procuration totale sur ses comptes et au bout de six mois en appartenance, Jean-Marc a été tatoué comme un animal de compagnie. Jean- Marc dans les premiers mois a été contraint de signer un contrat très contraignant dans lequel il abandonne toutes ses prérogatives de mâle. Une ou deux fois par semaine lorsque Martine claque dans ses doigts et regarde son soumis en souriant, Jean-Marc en connait la signification et file préparer gode ceinture et lubrifiant puis se place au donjon en position de levrette en attendant sa Maîtresse. Lorsque l’amant de Martine vient passer un week-end ou une soirée, Pénis reçoit parfois l’ordre d’assister aux ébats debout sur un tabouret mains sur la tête ce qui amuse beaucoup le couple. Martine adore voir Pénis entendant ses cris de jouissance. Parfois il arrive que Pénis reçoive l’ordre de descendre de son perchoir pour venir faire une fellation à Robert, l’amant de Martine. Jean-Marc ne bronche jamais et s’exécute puis il reçoit l’ordre de retourner aussitôt à ses corvées.
Pénis est purgé environ deux fois par an et progressivement il devient impuissant ce qui amuse aussi beaucoup Martine. « Ton ver de terre s’est bien habitué à l’enfermement, bientôt tu seras comme un castré et tu ne pourras même plus ni entrer en érection ni éjaculer. La prochaine purge sera ton cadeau de Noël »
A l’occasion d’une courte autorisation de sortie à la fin de la seconde année, Pénis eut la chance de pouvoir échanger longuement avec Micheline par téléphone et raconta à cette dernière sa nouvelle vie de soumis-esclave. Jean-Marc n’eut aucun scrupule à expliquer à Micheline que c’était très dur mais qu’il était dans l’accomplissement total.
Micheline après avoir écouté attentivement chacun des détails communiqués par Jean-Marc lui donna son point de vue sur la question :
« Si elle te serre autant la vis je pense que c’est pour ton bien et si tu l’acceptes c’est parce que tu recherchais cela en réalité.
Elle a décidé de te rééduquer totalement pour faire de toi un vrai mâle soumis et te placer au niveau que tu estimes être le tien face à une femme ce qui me semble bien pour toi dans ton accomplissement psychologique.
Tu dois continuer ainsi, tu as beaucoup de chance de vivre une pareille expérience. Dis toi bien que ton ex femme n’a pas eu la même chance que toi.
Tu avances bien avec cette femme dominante et je suis contente pour vous deux même si je ne là connais pas.
Concernant ce que tu m’as expliqué au plan de la masturbation j’approuve ce qu’elle fait car la frustration n’a jamais tué personne.
Tu dois te soumettre à elle et attendre. Ta Maîtresse sait ce qu’elle fait. L’idée de t’offrir cette purge pour Noël est une excellente chose.
Je pense en qualité de femme que sexuellement tu ne lui apporterais pas ce qu’elle recherche et que si elle couche avec un mâle dominateur et puissant ce n’est pas un hasard. En compensation tu as autre chose, le plaisir que tu lui donnes avec ta bouche et l’adoration de ses pieds. C’est très bien ainsi. »