Récit BDSM

Le lendemain la matinée me semble interminable, il me tarde une seule chose : midi.
Je fonce à ma chambre, j’entends soudain du bruit dans cet immense couloir de l’hôtel, mon cœur palpite.
Je reste assis sur le bout du lit quand j’aperçois deux femmes rentrer, une assez grande aux cheveux courts, assez mince et une plus petite, blonde un peu ronde avec un visage angélique, les deux vêtues de leggings noirs avec des escarpins noirs. Je n’ai pas le temps de parler que la première me demande si je suis « SoumisF »

Je grimpe au troisième étage mon cœur commence à s’accélérer nos discussions se sont arrêtées au stade de mail.
La porte est entrouverte, madame m’accueille et me prend dans ses bras. Câlin tout simple pour se découvrir.
Elle m’invite à m’installer dans le salon et me demande de me déshabiller complètement. Je m’exécute dans la foulée et me voici nu devant son canapé.

Il n’y a pas si longtemps, journée ordinaire, je pars travailler sous un magnifique soleil mais un froid de canard.
La matinée se passe relativement bien lorsque mon magasinier me téléphone pour m’avertir de l’arrivée d’un colis à mon nom.
Surpris car je n’avais rien commandé dernièrement.
Je m’installe à mon bureau et le colis sent agréablement bon, le parfum de femme, celui de ma maîtresse dont je n’avais plus de nouvelles depuis un petit moment.
J’ouvre la boîte, en premier je repère un string rouge visiblement déjà porté, avec un serre-taille, un porte jarretelle, des bas et un chapelet anal.

Mon activité étant en baisse je traîne sur un tchat pour discuter et échanger sous le contrôle de ma maîtresse bien évidemment.
Je m’inscris comme soumis pour voir les retours, un grand nombre d’hommes viennent me parler mais ce n’est évidemment pas ma recherche principale.
Puis, une fiche couple, Marine et Pierre (ce ne sont pas leurs vrais prénoms) commencent à discuter avec moi, les deux sont bi et curieux, Monsieur a plutôt un côté dominateur. Monsieur me propose une soirée le soir même. Nous parlons pratiques favorites et envies, puis je demande évidemment l’autorisation à ma maîtresse pour valider le rendez-vous avec ce jeune couple.
Maîtresse m’autorise cette escapade en me glissant « attention un sexe peu vite se glisser en toi », j’en rigole et rougis.

Mon après midi se passe dans le plus grand calme, mais je réfléchis sans cesse à ce qui pourrait m’arriver ce soir.
18h45, je fonce chez mon petit caviste pour la soirée.
Une bonne bouteille de champagne et c’est partie.
Devant la porte de ma maîtresse mon cœur bat très très fort je suis assez excité.