Shawn est une blonde aux yeux verts. Je ne peux m’empêcher de détailler son corps. Monts et merveilles. Creux satinés. Des pieds fins et latins.
Des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Son pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Sa pilosité brune couvre son pubis jusqu’à sa raie fessière. Très poilue entre les cuisses. Une superbe croupe. Les lèvres de son sexe sont une plaie rouge entre son entrecuisse velue noire.
Ses hanches s’incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril. Elles sont larges et rondes, mais sans lourdeur.
Au-dessus d’elles, comme une surprise, la taille est si fine qu’une seule main, croit-on, pourrait l’enserrer.
Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. Peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre ses superbes seins.
De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battant ses épaules rondes et gracieusement athlétiques.
Oui, Shawn est une femme, à la fois poupée de soie et poupée d’acier, pleine de charme féminin et de grâce, intégralement bronzée.
Ses yeux verts limpides s’allument, sa bouche charnue se fend. Des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. De longs doigts fins et de belles mains. Un corps intégralement bronzé.
Elle fait du 85B de poitrine, 65 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
Londres 1776
Vers 17 ans, la jeune Shawn, qui vit dans une famille bourgeoise, née d’un Lord et d’une Lady, ayant perdu son père lors de la bataille de Fort Royal, en Guadeloupe, en 1760, et sa mère, ne pouvant assurer seule son éducation, la confie à un comte aisé, issu du Régiment du Roi, comme son père, du 63e régiment d’infanterie. Elle ne connaît pas son vrai père, un marquis qui vit dans les environs d’Amiens, un maître dominateur.
A Greenwich, le long de la Tamise, un carrosse la conduit à sa nouvelle demeure, à 85 kilomètres de Londres. Elle est vêtue d’une robe pigeonnante décolleté, mettant en valeur sa poitrine bronzée, blanche, sur des collants blancs, chaussée de cuissardes noires à petits talons, les cheveux libres.
Pendant le trajet qui dure la demi-journée, jusqu’à Canterbury, la jeune Shawn apprend à feller le vicomte, Edward, de 30 ans son aîné. Il a un mandrin long de dix-huit centimètres et quatre de diamètre.
– Prends-moi en bouche. Lèche ma hampe. Continue, tu fais cela bien pour une débutante !
Shawn est encore vierge et sa valeur due à sa beauté ne cessera de croître avec l’âge. Il éjacule dans sa bouche.
– Avale, petite ! Lui intime Edward.
Elle se délecte de ce nouveau met.
Peu avant Rochester, lors d’une halte pour se restaurer, Shawn va dans un bosquet, faire ses besoins. Edward l’épie. Elle est accroupie, exhibant sa chatte velue nue et ses fesses rebondies. Il se branle devant le spectacle offert.
La suite du trajet se fait pour Shawn, intégralement nue et elle se caresse les seins, le clitoris et la chatte suivant les directives jusqu’à l’orgasme qui la terrasse.
Assoupie, elle se rhabille.
A 30 yards de Canterbury, à proximité de Dunkerque, dans le Kent, arrivée au domaine, elle est présentée à sa gouvernante, une hollandaise prénommée Zara, de huit ans son aînée. Zara est une femme châtain aux yeux verts, aux longs cheveux plats battant ses superbes épaules athlétiques, au corps gracieusement proportionné, couleur patine. Zara aime les femmes naturelles, sportives comme Shawn. Zara a des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard.
Le comte rentrera le lendemain. Shawn apprend que la Lady l’a vendue pour 1.500 guinées plus 300 pour son dépucelage et 700 pour son éducation.
Elle va apprendre les plaisirs sexuels et les vices.
Après son installation, Zara décide que Shawn garde son sexe velu, bienséant avec sa peau patine. Zara lui exhibe sous sa jupe, son pénil bombé, ouvert, couronné de noir. Sa pilosité brune couvre son pubis et a une superbe croupe. Les lèvres de son sexe sont nues entre son entrecuisse nue. Zara s’est rasée tout autour de l’anus étoilé et jusqu’à la vulve, ne gardant qu’un triangle, la pointe s’arrêtant juste au début de sa fente.
– Comme tu es vierge, le comte s’occupera de toi, la première, jeune Shawn.
– Je vais perdre mon pucelage, réplique Shawn. Je n’avais jamais connu l’amour. Mes parents m’ont confiée à un précepteur très strict, m’interdisant la masturbation et tout contact avec le sexe opposé.
– Nous allons réparer cela, ma belle. Je vais te baigner.
Shawn se déshabille, exhibant son corps nu : des jambes longues bronzées, musclées, parfaites ; un pénil bombé, ouvert, couronné de noir et une pilosité brune couvre son pubis jusqu’à sa raie fessière et très poilue entre les cuisses. Elle a une superbe croupe. Les lèvres de son sexe sont une plaie rouge entre son entrecuisse velue noire. Ses hanches s’incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril. Elles sont larges et rondes, mais sans lourdeur. Au-dessus d’elles, une taille affiné. Enfin ses seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre ses superbes seins.
Pendant le bain, que Shawn prend debout, Zara pose un doigt sur le disque aréolaire qu’il suit, gravitant autour du mamelon. Le mamelon durci est agacé par un doigt qui tourne subtilement autour de lui, puis le titillant avec raffinement. Tendu, le mamelon est pris entre pouce et index, pincé doucement, puis pressé, roulé, tiré doucement. Zara embrasse en même temps le sexe. Zara le fait aux deux mamelons. Shawn caresse sa chatte qu’elle découvre ruisselante et jouit sous le cunnilinctus.
– Shawn, voici comment vient le plaisir chez la femme. Pour l’homme, le comte te montrera.
Zara embrasse Shawn sur la bouche tendrement, en l’enlaçant. Shawn sent ses seins frotter ceux de Zara, aux mamelons durcis.
– As-tu vu un mandrin en érection ?
– Oui, la première fois, c’est avec l’homme qui m’a emmené. Je l’ai pris en bouche et il a laissé couler en ma bouche un liquide blanc.
– Vois-tu, tu as fellé le vicomte Edward et il a éjaculé du sperme. Le sperme a servi à te concevoir. Edward m’a initié à la sodomie.
– Je l’ai sucé, mais j’ai léchée aussi sa hampe et ses bourses pleines. Est-ce cela la fellation ?
– C’est une des variantes. Tu en apprendras d’autres.
Lors du rinçage, Zara lui écarte les fesses et découvre l’anus vierge. Zara introduit un doigt ensalivé dans l’anus, qu’elle tourne puis l’enfonce petit à petit, le rentre et le sort sans jamais le retirer complètement. Avec l’autre main, branle sa chatte et stimule le clitoris puis effectue un savant doigté vaginal suivi d’un léger doigté anal. Le doigt exécute un va-et-vient délicat dans le rectum. Lorsque Zara introduit un doigt dans l’anus de Shawn, la paume de Zara maintient une pression ferme entre l’anus et la vulve, pour faciliter les contractions et les relâchements du sphincter anal.
– Ca fait mal. Personne ne m’a fouillé le cul ainsi.
– Ma petite, il faudra t’y faire. Deux à trois fois par semaine, le comte honore mon cul. Il faut te dilater, pousse vers l’extérieur, dilatant l’anneau et ouvre le passage, réduisant ainsi la douleur, comme si tu faisais tes besoins.
– C’est mieux ainsi ! (Zara sent l’anus se dilater et plonge un autre doigt dans la chatte pour l’exciter, en léchant avidement le clitoris, l’amenant à l’orgasme).
Zara retire ses doigts, les fait lécher par Shawn, qui découvre l’odeur de sa chatte et celui de son cul. Shawn se soumet aux désirs de Zara, c’est un premier pas vers le vice.
Une fois sèche, Shawn reste nue, pieds nus, les cheveux libres, dans sa chambre jusqu’au souper.
Lors du souper, Shawn porte un corsage pigeonnant décolleté blanc avec une jupe ample noire, chaussée de mules noires à petits talons. Elle soupe avec Zara et ses domestiques.
Après le souper, le valet sodomise une de servantes, devant Shawn, voyeuse. Mais une seconde servante sous la table, lèche la chatte de Shawn, sous la jupe, Shawn jouit, alors que Zara lèche les seins nus de Shawn jusqu’à l’orgasme. Le valet offre son mandrin à Shawn qu’elle felle, guidée par lui jusqu’à l’éjaculation en bouche.
– Avale mon sperme, ma belle ! réplique le valet, subjugué par la rapidité d’apprentissage.
Shawn avale le sperme.
Shawn vient de plonger un peu plus dans la perversion.
Zara conduit Shawn nue, pieds nus, au bureau du comte. Elle lui menotte les poignets et les fixe avec des cordes à des anneaux fixés au coin du bureau. Shawn est sa prisonnière, elle ouvre les cuisses.
Zara la laisse seule un moment. Aveugle, elle entend des pas. Puis un gros mandrin long de dix-sept centimètres et quatre de diamètre, circoncis, en érection, se loge dans l’anus. Son agresseur lui écarte les fesses pour une sodomie plus profonde. Shawn pousse, malgré la douleur et crie sous les coups de boutoir portés. Shawn jouit au bout d’une demi-heure et son agresseur décharge sur ses fesses. Son anus vierge est dépucelé.
Zara la récompense en soignant l’anus meurtri. Libre, Shawn découvre un godemichet anal en bois sculpté, long et fin, pour l’initier à la sodomie dans sa chambre.
Après les soins, couchée sur le ventre, Shawn est apte à recevoir le godemichet dans son anus que Zara prépare. Consentante, Shawn écarte les fesses et jouit par la caresse clitoridienne. Elle a un orgasme qui la conduit au sommeil.
Le lendemain
Après le bain et le déjeuner, Shawn attend debout, nue, pieds nus, coiffée d’un chignon, dans sa chambre. Zara entre, portant un masque de cuir, vêtue d’un corset de cuir noir, chaussée de cuissardes noires à talons de cinq centimètres, est coiffée d’un chignon et lui annonce :
– Ta soumission a débuté. Tu prendras soin de ton corps, tu seras lavée, parfumée, agréable et soumise.
– Bien, maîtresse.
Shawn porte au cou, un collier de cuir cadenassé et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles cadenassés. Elle est devenue une esclave.
Son anus est soigneusement épilé, le reste de son sexe restera velu.
Au sous-sol du château, elle est sodomisée par cinq invités bien membrés, tout en fellant d’autres et en léchant d’autres esclaves.
Cette soumission à de nombreux étalons est un pas vers la jouissance multiple.
L’après-midi, un domestique noir, Desire, la sodomise avec son mandrin long de vingt-et-un centimètres et quatre de diamètre jusqu’à l’éjaculation sur ses fesses.
– Jamais mon cul pourra recevoir un gros mandrin !
– Détends-toi. Je m’occupe de tout avec un peu de mouille. Il te fera jouir, esclave, réplique Zara.
Agenouillée, elle attend les menottes fixées au cou, les cuisses écartées, les yeux et la tête baissés, éreintée.
– Que l’esclave soit menée au portique, dit un homme cagoulé en noir.
Après deux heures d’attente, elle est attachée à un portique, le ventre contre une croix, les chevilles et les poignets sont attachés, une ceinture de cuir lui enserre, nue, pieds nus, coiffée d’un chignon, au centre d’une petite pièce faiblement éclairée. Elle ne peut voir ses geôliers. Seule, une esclave lui lèche la chatte, agenouillée à ses pieds, alors qu’elle subit six sodomies successives. Shawn jouit faiblement, les fesses écartées.
– Ces six sodomies l’ont dressé. Faites saillir les fesses, pour la fessée, tout en la sodomisant digitalement pour la soumettre, dit un homme cagoulé en noir.
Le geôlier lui fait saillir, il la fesse tout en la sodomisant digitalement. Shawn y prend du plaisir.
– Deux claques à la minute entretiennent la sensation, annonce le geôlier.
– Elle aime ça, la belle ! Annonce Zara. Son cul s’ouvre davantage et ses fesses deviennent rouges. Elle ondule du bassin, en signe de soumission.
Après cette série de fessées, le comte Alban lui ordonne, debout :
– Esclave, vient me sucer le mandrin, ma belle !
Elle felle le comte Alban, de 40 ans son aîné, qui l’a déjà sodomisé au bureau, la veille. Lorsqu’il éjacule, elle lèche le mandrin jusqu’à la dernière goutte.
– Lèche ma semence jusqu’à la dernière goutte, ma belle !
Elle sera fessée lorsqu’elle aura un début d’orgasme.
Elle est sodomisée en levrette par de vaillants étalons cagoulés jusqu’à l’éreintement.
– La petite a le cul qui se dilate plus à chacun de vos coups de boutoir, mes braves, annonce le comte.
Elle mange empalée sur le tabouret au salon, les yeux baissés et la tête baissée, en compagnie des invités.
– Ta prestation sodomite est récompensée. Accroupie, tu fellera les invités !
Elle le fait auprès de maîtres, accroupie, nue, pieds nus, les menottes fixées au collier.
Zara a préféré que Shawn soit fessée que fouettée.
– Nous la fesserons. Elle a une si jolie croupe que quelques fessées la dresseront, annonce Zara, lors de la fellation. Une sodomie digitale la pervertira en même temps.
Shawn prend du plaisir avec la fessée mêlée à la sodomie digitale.
Sa chatte s’alanguit de ne pas recevoir de mandrins. Le temps viendra où elle sera déflorée.
Shawn vaut 2.000 guinées, après son deuxième jour.
Le soir, elle dort nue, pieds nus, les cheveux libres, les poignets et les chevilles menottés aux barreaux du lit, les cuisses écartées, disponible, sur le dos. Elle felle ainsi deux inconnus qui la sodomisent sans ménagement, en fellant un des geôliers pour étouffer ses cris.
Après la sodomie par des inconnus, Zara la rejoint :
– Shawn, voici un godemichet qui assouplira ton anus. Toute résistance accentuera tes souffrances. Je te bâillonne pour que ton Maître ne t’entende pas. Garde les cuisses ouvertes et les fesses écartées pendant la séance !
Zara lui loge dans l’anus dilaté, un godemichet en bois fin et long pour assouplir l’anus, fixé à une ceinture en cuir et cadenassé. Shawn devient prisonnière du godemichet qui la sodomise. Pour accentuer sa soumission, Zara la fesse sans ménagement.
Après deux jours de fessée, Zara lui annonce :
– Tu auras droit à une fessée par jour avec sodomie digitale. Ton anus est plus ouvert.
Elle reçoit de gros glands qui lui liment l’entrée de l’anus et son clitoris est excité par des langues de lesbiennes assoiffées, la conduisant à plusieurs orgasmes qui la terrassent.
Elle reçoit nue, pieds nus, les cheveux libres, ses clients dans sa chambre, libre.
Le cinquième soir, elle est punie pour un orgasme anal. Elle est fessée le soir, le collier de cuir cadenassé et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles sont cadenassés lui sont remis, les menottes fixées au cou, les cuisses écartées, les yeux baissés et la tête baissée et les chevilles sont menottées ensemble. Prisonnière, elle ne peut se caresser et doit feller les mandrins qui lui sont présentés, sans recevoir de plaisirs.
Elle subit ce nouveau traitement jusqu’à la veille de ses 18 ans par maîtresse Zara. Plusieurs étalons noirs la sodomisent régulièrement.
Six mois plus tard
Le matin, elle est libérée du collier et des bracelets de cuir, qui l’ont entravée, pour son ultime sodomie par Alban.
– Esclave, le Maître t’a sodomisé une dernière fois, annonce Zara. Tu es envoyée à Windsor. Le Maître a été rappelé auprès du King’s Regiment. Je vais te baigner et te faire jouir, libre.
Elle n’a été dépucelée comme prévu.
– Au revoir, esclave Shawn. Le Maître prendra soin de tes prochains jours, dit Zara.
Elle quitte le domaine d’Alban, de Dunkerque, vêtue d’une robe pigeonnante décolletée, mettant en valeur sa poitrine bronzée, fuchsia, sur des collants noirs, chaussée de cuissardes noires à talons de cinq centimètres, les cheveux libres. Edward l’accompagne.
Pendant le trajet, Shawn se fait longuement sodomiser par Edward jusqu’à l’orgasme.
– Edward, enculez-moi ! J’aime recevoir votre queue dans mon cul de soumise.
– Comme ceci, dit Edward, en s’enfonçant plus profondément dans l’anus dilaté que Shawn présente en levrette.
– Oui, c’est bon.
Le cocher et les laquais la sodomisent à tour de rôle dans une clairière. Elle les felle sans retenue et garde leurs spermes en bouche, soumise, agenouillée sur un tapis de feuille, nue, pieds nus.
Bravo, très belle histoire, très excitante…