Six mois après,
Le matin, elle est libérée du collier et des bracelets de cuir, qui l’ont entravée, pour son ultime sodomie par Alban.
– Esclave, le Maître t’a sodomisé une dernière fois, annonce Zara. Tu es envoyée à Windsor. Le Maître a été rappelé auprès du King’s Regiment. Je vais te baigner et te faire jouir, libre.
Elle n’a été dépucelée comme prévu.
– Au revoir, esclave Shawn. Le Maître prendra soin de tes prochains jours, dit Zara.
Elle quitte le domaine d’Alban, de Dunkerque, vêtue d’une robe pigeonnante décolletée, mettant en valeur sa poitrine bronzée, fuchsia, sur des collants noirs, chaussée de cuissardes noires à talons de cinq centimètres, les cheveux libres. Edward l’accompagne.
Pendant le trajet, Shawn se fait longuement sodomiser par Edward jusqu’à l’orgasme.
– Edward, enculez-moi ! J’aime recevoir votre queue dans mon cul de soumise.
– Comme ceci, dit Edward, en s’enfonçant plus profondément dans l’anus dilaté que Shawn présente en levrette.
– Oui, c’est bon.
Le cocher et les laquais la sodomisent à tour de rôle dans une clairière. Elle les felle sans retenue et garde leurs spermes en bouche, soumise, agenouillée sur un tapis de feuille, nue, pieds nus.
Ils se rendent à Windsor, à 120 kilomètres de Canterbury, dans le Berkshire. Un riche marquis, ami de son père, Benjamin, veut son bonheur, en faisant d’elle sa maîtresse, de 35 ans son aîné. Il a payé 4.000 guinées plus 1.500 pour son dépucelage et 900 pour son éducation.
Benjamin est un amateur de peinture et Shawn pourrait être un de ses modèles.
Arrivée au manoir de Benjamin, Shawn est laissée seule avec ses malles devant l’entrée. Deux domestiques noirs ouvrent la porte et lui porte ses malles à la chambre. Benjamin honore deux pucelles de son marquisat. Shawn jouit devant le spectacle, en ouvrant la porte, la jupe relevée et les seins dénudés, se caressant. Elle mord ses lèvres pour ne pas crier, tant le plaisir est intense.
Un officier français, un hussard du régiment de hussards Nassau-Saarbruck, un prisonnier de Benjamin, capturé, de 15 ans son aîné, la rejoint et lui caresse les mamelons et les seins. Shawn déloge le mandrin en érection, long de treize centimètres et quatre de diamètre et loge le mandrin dans son anus.
– Défonce-moi l’anus, bel étalon ! J’ai le cul en feu depuis ma dernière sodomie par Edward !
Le hussard la lime en douceur et il la conduit à l’orgasme, qu’elle atteint, lorsque les deux pucelles explosent dans des cris jouissifs.
Benjamin se rhabille et fait entrer Shawn, dévêtue, les cheveux mêlés, l’anus ruisselant de sperme.
– Je vois que Shawn a fait connaissance avec le hussard Arpad, annonce le marquis.
– Marquis, cette jeune femme a un cul apte à vos désirs.
– Elle a été éduquée chez mon ami Alban, le comte de Canterbury, son parrain. Je suis le témoin du baptême de cette beauté.
Shawn en apprend plus.
– Shawn, le prénom de cette beauté, est née dans une île, jadis française, devenue britannique. Ses parents sont revenus à Londres, peu avant son deuxième anniversaire. J’ai payé son précepteur. Mais j’avais décelé en elle, son côté pervers et vicieux. Alban a développé ces derniers. Sa valeur vient de sa beauté, accentuée par son éducation stricte et un dressage sodomite. N’est-ce pas Shawn ?
– Oui, marquis, le comte m’a initié aux plaisirs sodomites. J’ai appris l’amour lesbien, la fellation et je ne suis plus rebelle à d’autres désirs. Ma maîtresse m’a fessée pour me soumettre. Je suis venue vous demander ma défloration.
– Shawn, tu seras déflorée en temps voulu. Pour l’instant, prend un bain. La nudité est admise dans le domaine. Tu pourras ainsi t’offrir à quiconque, désirable. Approches-toi. Appelle-moi Benjamin.
Shawn s’exécute et il lui caresse le corps nu, soupèse les seins, excite les mamelons dressés, lui caresse les hanches, la taille, les fesses, dont il découvre les orifices et flatte le galbe des jambes.
– Ton anus sera toujours épilé, le reste de son sexe restera velu, annonce Benjamin.
Shawn rejoint sa chambre, se baigne seule. Arpad se branle en l’observant. Il jouit.
Arpad lui épile l’anus. Il la sodomise en levrette sur le lit jusqu’au nouvel orgasme.
– Arpad, fais-moi jouir avec ta queue dans mon cul !
Au souper, elle découvre le même tabouret que chez Alban et s’y installe. Les deux domestiques, Caesar et Julius, lui offrent leurs mandrins longs et gros, circoncis. Elle se délecte, entre deux plats.
Le soir, elle se fait longuement sodomisée par Caesar. Il décharge sur ses fesses, sur lesquelles, il a donné quelques claques magistrales. Elle jouit sous les coups de boutoir.
– Fesse-moi et encule-moi en même temps, je suis ton esclave, clame Shawn, lors des ébats.
Il l’abandonne repue. Elle s’endort rapidement.
Deux jours après,
Shawn est officiellement déflorée par Benjamin, le jour de ses 18 ans.
Elle le felle, agenouillée.
Il l’installe sur le bord du lit. Elle se couche sur le dos, les pieds posés sur le lit, grand écart, un coussin sous les fesses, les jambes relevées et très écartées. Il lui caresse les seins, la couvre de baisers sur tout le corps, puis il lui caresse le clitoris avec la main gauche et sa chatte. Il éjacule sur son ventre qu’elle embaume avec sa main droite. Elle embaume ses seins de son sperme avec sa main droite. Ils s’embrassent, il est couché sur elle. Elle branle le mandrin couvert de son sang de vierge. Il la sodomise ensuite.
– Tu n’es plus vierge, Shawn. Tes orifices peuvent s’offrir à de nouveaux plaisirs.
Allongée sur le dos, Shawn se laisse ouvrir complètement les cuisses. Benjamin, agenouillé, la saisit par les chevilles pour l’obliger à s’ouvrir davantage. Jambes tendues, elle est sodomisée. Benjamin, d’un simple geste en avant, il lui soulève les reins et la sodomise doucement avec toute la longueur et la grosseur du mandrin. Chauffée à blanc, il lui susurre son amour.
– Shawn, tu es ma plus belle maîtresse.
– Benjamin, encule-moi comme une salope !
Elle se caresse les seins, jouit très fort, la tête posée sur le lit. Il décharge sur ses seins.
N’étant plus vierge, sa valeur est quadruplée.
Elle se fait honorer la chatte par Arpad et les deux domestiques, développant sa sensibilité clitoridienne et vaginale, puis s’offre en double pénétration, en fellant un troisième étalon.
La perversion et le vice ont pris le dessus sur Shawn la prude.
– Benjamin, cette triple sollicitation de mes orifices m’a ravie. Moi qui n’ai connu que la sodomie depuis Alban.
Le soir, un duc leur rend visite. Shawn est présentée nue, pieds nus, les cheveux libres. Le duc, un neveu de la branche écossaise du marquis, prénommé Ian, bien bâti, lieutenant de vaisseau de la Royal Navy, de 20 ans son aîné, rentrant d’une expédition aux Indes Occidentales, est subjugué par sa beauté.
Shawn s’offre à lui, pendant le repas. Elle le felle, lors de la collation, puis s’empale dos à lui, l’anus rempli par le mandrin long de dix-huit centimètres et quatre de diamètre. Il lui caresse les seins, l’embrasse, lui caresse les fesses et les hanches.
– Shawn est une jeune beauté qui ravirait mon fils. Quelle est sa valeur ?
– Elle vaut 16.000 guinées. Il faut qu’elle perfectionne son éducation, annonce le marquis.
– Quels sont ses goûts ?
– Elle est sodomite, lesbienne, aime le triolisme et ne refuse pas les fessées. N’est-ce pas ma chérie, Shawn ?
– Oui, je suis une perverse et vicieuse, malgré mon côté poupée de soie, réplique Shawn. Duc, je sens que vous allez décharger ! Laisse-moi vous prendre en bouche.
Shawn se retire et s’agenouille sous la table. Elle prend le mandrin et le felle.
– Continue, Shawn. Je vais jouir.
Il décharge dans sa bouche, elle avale le sperme. Elle se rince le visage et la bouche et prend le dessert.
Elle dort en compagnie de Ian, qui la caresse et la fait jouir sans l’honorer. Elle perfectionne sa sensibilité sexuelle.
Le lendemain
Au réveil, elle le felle, profitant de l’érection matinale et reçoit son sperme en bouche.
Au lever du soleil, Ian les quitte. Shawn le rejoindra plus tard.
Lors d’une promenade à cheval dans le parc, Shawn, vêtue d’un chapeau noir, d’un pantalon avec une veste noire sur un chemisier blanc et de bottes noires, les cheveux libres. Arpad la rejoint à cheval. Shawn fait une halte et descend du cheval blanc. Il s’approche d’elle, lui caresse les seins avec le chemisier, lui retire la veste, l’embrasse. Elle garde ses bottes. Ils s’agenouillent. Il la couche sur le dos, le chemisier ouvert sur ses seins nus et la sodomise, en lui relevant les cuisses à hauteur de ses épaules, les cuisses écartées. Shawn s’ouvre au maximum, renversée. Il conclut en la prenant en levrette et lui caresse les seins offerts. Il éjacule sur son dos et se retire, quitte les lieux à cheval. Elle se relève et reprend ses esprits.
Repue, elle rejoint l’écurie. Là, le lad et le maître écuyer la prennent en double pénétration, nue, pieds nus, dans un des box jusqu’à l’orgasme. Ils déchargent sur son visage et ses seins. Elle est heureuse.
– Tu es une femme qui aime le plaisir multiple. Regarde, comme son cul se dilate sous mes coups de boutoir, dit l’un.
– Sa chatte ruisselle autour de mon mandrin, dit le second.
A la chambre, elle se baigne et se repose.
Benjamin lui apprend :
– Ta mère est décédée lors de ton transfert de Canterbury à Windsor, ainsi que ton unique grand-parent il y a six mois. Tu es orpheline. Je deviens ton tuteur.
– Où est enterrée ma mère, Benjamin ?
– Elle est enterrée à Greenwich, dans un caveau familial.
Dans l’après-midi, un bel homme, portant un masque de cuir noir, lui rend visite. C’est Alban, venu de Canterbury, de retour d’un voyage à Reading.
Shawn se plie à ses désirs. Menottée aux barreaux du lit, couchée sur le ventre, elle attend ses ordres :
– Ma petite, suce mon mandrin, sans broncher (Il lui donne de petites claques sur les fesses).
Il la viole, fessée, sodomisée. Malgré la fatigue, enfin, il la libère un court instant, la lève, lui fixe un cou, un collier de cuir cadenassé et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles cadenassés.
– Agenouille-toi et attends, jusqu’au coucher du soleil.
Elle reste là, les fesses rougies, jusqu’au tomber du soleil, où il la quitte, sans un mot, les cuisses écartées, les yeux baissés et la tête baissée, éreintée.
Benjamin la soigne et interdit à Alban de l’approcher.
Shawn passera huit jours alitée, victime de cauchemars et refusant tout plaisir sexuel.
Après neuf jours de repos, Shawn est invitée à une partie de chasse dans le domaine de Benjamin. Shawn est vêtue d’un chapeau noir, d’une jupe longue ample avec une veste noire sur un chemisier blanc et de bottes noires. De vaillants étalons virils rêvent de la prendre, mais elle, seule, fait le dernier choix.
Elle est capturée par Nathan dans une grange. Il la conduit dans le foin, elle s’évanouit. Il lui relève la jupe et le jupon, et lui fait un cunnilinctus, grand écart, qui la fait jouir très fort puis il sodomise en levrette, Shawn jouit très fort tout en branlant sa chatte avec sa main droite. Il éjacule sur les fesses de Shawn.
Shawn maîtrise le français avec Arpad, son précepteur. Elle apprend les mots relatifs au sexe et pratique les ébats sexuels en récompense de ses bonnes notes à l’oral comme à l’écrit.
Un matin, Arpad lui apporte par un courrier venu de Paris, des écrits de Molière. Shawn les dévore, entre deux plaisirs. Elle commence à rédiger ses mémoires d’esclave, en cachette.
Benjamin lui remet un mandrin sculpté en bois, léger, de calibre moyen, pour qu’elle jouisse seule. Shawn le prend en main le soupèse, caresse ses mamelons qu’elle fait dresser, descend le godemichet jusqu’à la chatte, caresse les lèvres, le clitoris. Shawn jouit.
– Cette queue comblera l’absence de mes amants.
Shawn, allongée sur le dos, les jambes en l’air, grand écart, jouit, offre sa chatte au godemichet de glace qu’elle enfonce dedans.
– Oui, chéri, lime-moi la moule.
Shawn s’allonge sur le côté droit, les jambes un peu ramenées vers elle, les cuisses un peu écartées, offre sa chatte au godemichet qu’elle enfonce dedans. Shawn jouit.
Son anus n’est pas épargné. Elle le lubrifie avec sa mouille et y en douceur le godemichet. Arpad l’aide et le fait coulisser en variant la longueur et le rythme. Shawn a un orgasme qui la terrasse.
– Quel plaisir me procure ce mandrin en bois. Mes orifices sont à la fête, en l’absence de mâles.
Après un mois passé au service de Benjamin, Shawn, la petite fille timide avec des gestes maladroits, est devenue une femme au corps provocant. Ses seins, flattés par de savantes caresses, tendent en permanence leurs mamelons. Le ventre arrondi s’est tendu par la rigueur des coups portés et ses hanches se sont cambrées. Ses amants l’ont troussés n’importe où et ils lui ont donné le meilleur d’eux-mêmes.
Le notaire de Benjamin fait signer à Shawn, un document stipulant qu’étant majeur, elle devient marquise et propriétaire d’un domaine, à cent yard du domaine de Benjamin, avec Arpad, le second lad, l’écuyer en second, deux domestiques noirs et un majordome, sa dot s’élève à 30.000 guinées.
Le lendemain, elle emménage dans un château, détenu par la famille de Benjamin, à Ascot. Elle y vit nue et reçoit rarement des invités.
Elle jouit des ébats sexuels avec ses amants.
1767
En ce début d’année, un riche officier du Grenadier Guards, en charge de la protection de Windsor, la désire. Il lui envoie des lettres enflammées pendant un mois. Elle se refuse à lui et décline toutes ses invitations.
Shawn fait la connaissance de Sir Charles, de 30 ans son aîné. A 18 ans, Shawn le reçoit seule, sans ses domestiques et le majordome, ni Arpad.
– Madame, je suis un respectable armateur de négriers, effectuant la traversée entre la colonie africaine britannique du royaume musulman du Bénin et les Indes Occidentales britanniques avec la Dominique et Tobago.
En échange de ses rendez-vous, il lui remet des cadeaux réalisés par des esclaves en ivoire, d’objets phalliques et de bijoux en ivoire et en argent. Sir Charles n’éprouve que du plaisir, en honorant ses conquêtes, par de longs coïts en retardant son éjaculation. Au début, Shawn n’est pas satisfaite et jouit au milieu du coït. Avec l’expérience, elle tente de synchroniser son orgasme sur le sien, en anticipant son éjaculation. Il la sodomise à chacun de ses rendez-vous. Elle aime recevoir son mandrin long de dix-huit centimètres et trois de diamètre dans ses orifices qu’elle a musclé et dont elle connaît les moindres recoins.
Après un mois de liaison, l’armateur la quitte pour la Dominique. Elle le laisse à son épouse.
Ian l’informe qu’une frégate a été baptisée Mermaid Shawn en son honneur, pour assurer l’escorte des navires marchands des Indes Occidentales. Il l’invite à se faire dessiner nue pour la figure de proue de la frégate. Elle reçoit les jours suivants le dessinateur. Elle pose torse nu, les bras le long du corps, les cheveux libres.
Pendant deux mois, son admirateur de Windsor ne lui écrit plus. Il est rappelé à Londres pour la garde royale.
A un mois du lancement de la frégate, Shawn se rend aux chantiers navals où la frégate est achevée, sur la Tamise. Elle quitte son domaine, vêtue d’une robe pigeonnante décolleté, mettant en valeur sa poitrine bronzée, fuchsia, sur des bas noirs, chaussée de cuissardes noires à talons de cinq centimètres, les cheveux libres. Benjamin l’accompagne, ainsi que quatre cavaliers du marquis.
Elle y découvre la figure de proue à son effigie. Ian l’accueille. Le trio mange au mess de la base navale qui abritera la frégate.
Shawn fait un don de 20.000 guinées pour la figure de proue.
Lors du voyage du retour, le surlendemain, Benjamin meurt dans ses bras, victime d’un malaise. Sur le trajet, elle l’enterre dans le domaine de Windsor, où il y a passé ses dernières années. Elle vend le domaine à Ian. Elle se console dans son château d’Ascot. Son courage et son tempérament en font d’elle une nouvelle marquise.
Entre le début de l’année et le début du printemps, le fils d’Alban, de 8 ans son aîné, capture les domestiques noirs et dépouille le personnel jusqu’au dernier sou. Shawn se retrouve seule avec Arpad.
Vers le début du printemps, le fils d’Alban, Aurelius, arrive seul à cheval et rend visite à Shawn, qui est seule. Shawn est allongée sur le lit, sur le côté droit, les jambes un peu ramenées vers elle, les cuisses un peu écartées, offre sa chatte au godemichet qu’elle enfonce dedans. Shawn jouit.
– Alors, Shawn la salope, on jouit sans moi. Je vais te montrer.
Menottée aux barreaux du lit, couchée sur le ventre, elle attend ses ordres :
– Ma petite, suce mon mandrin, sans broncher (Il lui donne de petites claques sur les fesses).
Il la viole, fessée, sodomisée. Malgré la fatigue, enfin, il la libère un court instant, la lève, lui fixe un cou, un collier de cuir cadenassé et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles cadenassés, les fesses rougies, les cuisses écartées, les yeux baissés et la tête baissée, éreintée.
Arpad échappe à l’incendie du château d’Ascot et donne l’alerte. Aurelius abandonne Shawn, dans une des forêts du Berkshire, nue, pieds nus, les cheveux libres, installée sur l’avant de son cheval, menottée. Il lui retire les menottes et la quitte sans un mot.
Ce n’est qu’après cinq jours d’errance, affamée et affaiblie, Shawn est recueillie par un garde champêtre qui la réconforte. Arpad la rejoint et ils s’exilent de Windsor pour Portsmouth, distant de 81 kilomètres.
A leur arrivée, Shawn y retrouve un parent de Benjamin qui l’héberge, alors qu’Arpad s’engage dans les troupes émigrées pour les colonies britanniques américaines. Le roi Georges III anoblit Shawn comme marquise, au sein de la Pairie.
Aurelius est arrêté, mis au cachot et sera pendu à Londres six mois après. Alban perd son titre et ses terres et est exilé en Virginie avec ses prostituées. Certaines prostituées sont emprisonnées à Londres, avant d’être torturées et exécutées pour leurs passés judiciaires.
A l’été, Shawn quitte Londres pour un domaine qu’elle racheté à Alban, à 30 yards du château où Alban l’a perverti, dans le Kent, à Honey Hill. Elle le réhabilite, détruit les cachots, lui rappelant de mauvais souvenirs et en fait, un lieu de plaisir pour ses invités.
Le château d’Alban est rasé et laisse la place à une luxueuse résidence d’un Lord. Le Lord se prénomme Grant. C’est un étalon bien monté, de 15 ans son aîné, possédant des terres dans diverses colonies africaines, américaines et aux Indes Orientales.
Grant emménage dans le pavillon de chasse du domaine où vit Shawn.
Shawn se lie d’amitié. Ils font des promenades à cheval et passent la soirée à jouer aux dames, aux échecs et aux cartes. Shawn se perfectionne à ses jeux et donnent de plus en plus souvent de gages au Lord, qui la sodomise, la baise et la fait jouir sous ses caresses jusqu’à l’éreintement.
Henry, le frère de Grant, les rejoint à la fin de l’été. Il est bien monté, avec un mandrin long et fin. Shawn se fait prendre quatre à cinq fois par jour, en double pénétration, dans les diverses pièces du domaine.
Un après-midi d’août, Grant et Henry se battent en duel dans le domaine, pour le cœur de Shawn. Ian arrive en plein duel, les sépare. Shawn soigne les duellistes, qui sont légèrement blessés. Elle leur annonce :
– Grant et Henry, rien ne sert de se battre en duel. Vous êtes tous les deux mes amants. Si l’un de vous a une femme, qu’il me quitte. Je lui laisse son mari.
Henry se retire, car il est marié et ne veut pas mettre son mariage en jeu.
Grant et Ian honorent ensuite Shawn.
Shawn dépucèle le fils de Ian, James, de 3 ans son cadet.
En septembre, Arpad rentre des combats, chez Arpad, aveugle, lors d’un duel avec un des anciens amants de Shawn en Virginie. Shawn prend soin de lui.
Ils font l’amour et Shawn est enceinte.
1768
Lors des émeutes, malgré sa grossesse, à 19 ans, Shawn part avec Arpad, se réfugier, en Ecosse, sur les terres de Ian, à Livingston, dans la banlieue d’Edimbourg, distant de 590 kilomètres. Elle est protégée par un détachement des Royal Marines.
A la naissance de Flynn, elle l’abandonne à une nourrice. Il ne connaîtra jamais sa vraie mère.
Shawn reprend ses liaisons, suite au décès cardiaque d’Arpad, après une noyade en mer.
La jeune marquise, accompagnée de son détachement, se rend à Glasgow, à 47 kilomètres de Livingston, pour enterrer Arpad sous une fausse identité. Le hussard reçoit les honneurs militaires d’officier.
Elle rentre à Londres avec une escorte légère.
Elle épouse un jeune duc, qu’elle a dépucelé lors de son séjour à Canterbury.
En juin, il lui annonce :
– Duchesse, je dois rejoindre la flotte aux Indes Occidentales.
L’officier des Royal Marines, James, un fils de comte, devient son amant et la sodomise à chacune de ses visites.
Dans le port de Portsmouth, elle assiste à une vente d’esclaves. Elle y retrouve ses deux domestiques noirs affranchis par Benjamin.
Sir Charles lui fait le baisemain. Elle lui demande :
– Je veux ces deux esclaves. Voici 300.000 guinées.
– Je ne peux accepter, réplique le Sir. Merci, ils sont à vous. Mais avant de rejoindre Tobago, je vous échange une semaine de sodomie dans votre résidence londonienne.
– J’accepte.
Elle fait fortune en œuvrant pour l’abolition de l’esclavage, en rachetant des esclaves qu’elle envoie dans des colonies libres.
Un généalogiste lui confirme :
– Vous êtes la fille du marquis d’Amiens, dont vous héritez de ses terres et de ses titres. Mais aussi vous êtes la petite-fille de Benjamin et la nièce de Ian, dont vous êtes sa soeur (son amant), ainsi qu’est la cousine d’Edward. Ce qui confère des titres de la noblesse et de terres de ses héritiers soit une partie du Kent, du Berkshire et du Lothian, où se trouve Edimbourg. Vous héritez de terres à Tobago.
Elle loue une partie de ses terres à de riches colons rentrant d’Amérique, en échange de rachat d’esclaves. La Nouvelle-Angleterre suit sa voie et l’Angleterre ne l’abolira avec le roi George III qu’en 1808 et la France l’abolit temporairement entre 1794 et 1802, puis définitivement en 1848.
A l’aube de ses 20 ans, Shawn a pris de l’assurance, du caractère et de la jeune esclave, au corps d’adolescente, elle est devenue une femme dominatrice, au corps provocant.
A Ascot, elle retrouve son domaine, où l’ont rejoint le second lad, l’écuyer en second, deux domestiques noirs et un majordome, qui lui sont restés fidèles malgré leurs épreuves. Louis-Marie a remplacé Arpad. Elle a droit à un corps de garde pour ses domaines.
Son livre sur sa vie d’esclave, se vend sous le manteau, dans des cercles très fermés, échappant à la censure royale, édité en petites quantités. Ses droits d’auteur servent à améliorer le quotidien des habitants d’Ascot et de ses environs. Nul ne connaît son passé d’esclave et ses péripéties depuis l’âge de 17 ans.
1769
A Ascot, à 20 ans, Shawn revit en toute liberté. Son nouvel amant est Richard, le cadet de Benjamin. L’esclave de Shawn vit une vie normale, assiste les domestiques.
Lors des sorties de Richard, Shawn prend du plaisir avec son esclave et ses domestiques qui la sodomisent jusqu’à l’orgasme.
En avril, elle est invitée à Londres chez le roi. Elle porte sa plus belle robe sur son corps nu et ses plus beaux bijoux. A St Jame’s Palace, elle est anoblie officiellement comme marquise du marquisat d’Ascot.
L’après-midi, deux lesbiennes et un baron la conduisent dans une des chambres du palais. Les deux lesbiennes la déshabillent et la préparent pour le baron, les yeux bandés. Elles lui liment digitalement les deux orifices, avant que le baron la prenne en levrette, la sodomise. Elle lèche à tour de rôle les lesbiennes, qui lui lèche la chatte. Shawn jouit. Pour le final, elle felle le baron, agenouillée, les cuisses écartées, sans les mains, guidée par les lesbiennes. Il décharge dans sa bouche. Elle est heureuse.
Elle participe au souper, ses seins sont pelotés par un marquis entreprenant et une duchesse lesbienne. Sa petite poitrine ravit la cour, dont on fait des éloges.
Pour le dessert, nue, pieds nus, elle s’offre en levrette, sur le parquet et elle se fait sodomiser par une banane, une courgette, une carotte et trois mandrins de la cour à tour de rôle jusqu’à l’orgasme et l’éreintement. Elle a même l’honneur de feller l’officier le plus gradé des Horse Guards et celui des Home Guards. Ils éjaculent dans sa bouche. Elle est satisfaite.
Après le dessert, pris empalée, sodomisée sur un des officiers, elle ouvre les hostilités d’une orgie dans le grand salon jusqu’à l’aube. Certains la fessent, la sodomisent et voire la prennent en double pénétration devant des couples pervers.
A son réveil, au lever du soleil, elle se trouve nue, pieds nus, les cheveux libres, entre deux couples qui l’ont honoré. Elle se lève discrètement, fait une rapide toilette, se rhabille, quitte la chambre. En chemin, un des domestiques l’entreprend dans une des pièces des salons privés du roi. Il lui relève la jupe et lui honore les deux orifices de son long et fin mandrin, lui pelote les seins. Shawn jouit sous les coups de boutoir, avant qu’il ne décharge dans son anus dilaté. Shawn reprend ses esprits, son baiseur a disparu. Elle a dû mal à retrouver la sortie.
Un des officiers jaloux des Horse Guards, des Life Guards, la viole sans ménagement, dans une des écuries. Il lui lime violemment la chatte et la sodomise en levrette, en la fessant.
– Voici pour toi, la pute soumise de Canterbury. Tu aimes être sodomisée et fessée, ma belle !
Shawn y trouve du plaisir.
Mais deux autres officiers le retirent de l’anus meurtri. Shawn s’évanouit. Elle est portée à l’infirmerie du palais et ne retrouve ses esprits qu’en milieu d’après-midi. Elle est nue dans le lit. Elle est courbaturée. Elle se lève lentement, couvre ses seins, lors de la visite du docteur en chef. Elle peut quitter Londres le lendemain dans la journée.
Son violeur est dégradé, emprisonné et sera pendu dans le mois. Elle devient la marraine d’une compagnie originaire du Berkshire.
Ses amants d’Ascot quittent le pays pour la guerre d’Indépendance des Etats-Unis. Elle ne les reverra pas avant la signature du traité de paix.
Elle se console avec de jeunes puceaux qu’elle dépucèle et se fait sodomiser par son esclave et ses domestiques. Louis-Marie rejoint les siens pour les Etats-Unis.