1772
Début septembre, au lever du soleil, un brick, sous pavillon britannique, entre dans la rade de Minorque, suivi de deux navires légers. C’est le navire-amiral de Mastermind. Mastermind en descend avec cinq soldats en armes sur une chaloupe et une seconde transporte des esclaves noirs, lourdement entravés, en plusieurs voyages. De riches propriétaires terriens et nobles sont rassemblés sur les quais. Shawn et Prisca observent la scène au loin, habillées de capes noires avec un bonnet, sur de longues robes décolletées, les cheveux libres, avec quatre hommes d’escorte.
Les esclaves sont vendus entre 500 à 10.000 guinées. Les femmes d’esclaves sont vendues le double.
Un des espions de Mastermind, infiltré à Minorque, depuis l’arrivée d’Adele, il y a un an, a remarqué la présence de Shawn, malgré sa discrétion comme prostituée.
Le 2, Shawn est capturée en se rendant à la ville, malgré ses deux hommes d’escorte, qui sont tués. Elle ne peut appeler au secours, se débat, mais elle est rapidement bâillonnée, ligotée et embarquée dans un sac, porté par un colosse africain jusqu’au navire-amiral.
Dans une cale du brick, elle se retrouve avec un collier de cuir cadenassé et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles cadenassés. Elle est devenue une esclave.
Son anus est soigneusement épilé, le reste de son sexe restera velu.
Elle est attachée à un portique, le ventre contre une croix, les chevilles et les poignets sont attachés, une ceinture de cuir lui enserre, nue, pieds nus, coiffée d’un chignon, au centre d’une petite pièce faiblement éclairée.
Un homme, portant un masque de cuir noir, entre, le mandrin en érection et annonce :
– Voici l’esclave Shawn, que mon père Alban a dressé et que mon frère Aurelius a violé. Alban est mort et Aurelius a été pendu par sa trahison. Pas un mot, ma belle. Tu subiras fessées et sodomie comme Alban t’a appris pendant la traversée et au manoir. Ta bouche recevra le sperme de tes maîtres. Tu garderas les yeux baissés, la tête baissée, les cuisses écartées, lors de ma présence. Nous rejoignons Gibraltar, avant d’arriver en Angleterre.
L’escadre met le cap vers Gibraltar, atteint en quinze jours.
Selim fait escale à Minorque, avec quatre navires, en fin de journée, pour ravitailler.
Prisca le rejoint et lui raconte :
– Selim, Shawn n’est pas revenue de la ville, ce matin. Je crains qu’elle soit enlevée. Un mystérieux brick a livré des esclaves et en a repris d’autres, dont peut-être Shawn.
– Le Mastermind est un marchand d’esclave qu’aucun étranger ne peut surpassé, au niveau des prix et de la beauté de ses esclaves. Il était jaloux que je possède la Marquise Shawn. Depuis son séjour au harem, des marchands d’esclaves se bataillaient pour avoir Shawn. Je ne transporte plus d’esclaves, mais de riches Ottomans qui visitent l’Europe. Minorque est une de mes escales. Mettons le cap vers Gibraltar.
Ils mettent le cap vers Gibraltar.
Pendant la traversée vers Gibraltar, Shawn subit les fessées avec sodomie digitale, attachée au portique, silencieuse, soumise. Des geôliers cagoulés la sodomisent jusqu’à l’éjaculation sur ses fesses, avec de gros mandrins. De temps à autre, elle est enchaînée avec un des esclaves noirs, empalée par l’anus, les poignets menottés devant au collier et doit parader ainsi devant Arthur, tenue en laisse par un des geôliers, les yeux baissés, la tête baissée, les cuisses écartées, pendant le temps décidé par son maître.
Le 20 au soir, les officiers du gaillard la sodomisent au mess, sans défense. Shawn se retrouve nue, pieds nus, les chevilles attachées à chaque pied de la table, les poignets sous la table, les cuisses écartées, sur le dos. Sa bouche est remplie des mandrins des officiers jusqu’à l’éjaculation.
– Cette soumise aime le sperme et le cul rempli par de gros mandrins, annonce un des officiers.
Le 21 au matin, au lever du soleil, après une courte nuit, elle est offerte, avec une ceinture de chasteté, laissant libre accès à son anus, nue, pieds nus, coiffée d’un chignon, les poignets menottés devant au collier, accroupie, les cuisses écartées, à des amis d’Arthur, des bourgeois et nobles, qu’il transporte comme passagers, qu’elle felle jusqu’à la dernière goutte et qui lui taquinent son anus offert.
A Gibraltar, à l’aube, le convoi d’Arthur mouille dans la rade. Le convoi de Selim les a rattrapé par un trajet plus favorable avec les vents. Mais le capitaine du port de Gibraltar refuse à Selim toute entrée dans la rade, qui doit se rendre dans un port andalou, perdant le contact avec Arthur. Shawn attend, attachée au portique. Le gouverneur sodomise Shawn avant de la fesser, pendant la visite du brick.
Les esclaves sont échangés, vendus à des royaumes d’Afrique du Nord et des esclaves achetés en Afrique du Nord prennent leurs places. Arthur en sélectionne une partie pour satisfaire Shawn.
Les passagers du navire-amiral quittent le bord pour rentrer en Angleterre en carrosse.
Avant le coucher du soleil, le convoi quitte Gibraltar. La seconde moitié du trajet est plus intime, car nul ne connaît la destination finale du convoi, sur ordre du roi. Arthur est un proche du roi George III.
Le 7 octobre, le convoi au passage du cap Finisterre, essuie une violente tempête. Shawn est ballottée, les pieds immergés.
Le navire-amiral et le reste du convoi doivent s’alléger, des esclaves sont jetés à la mer, entravés, certains meurent noyés, d’autres seront repêchés.
Le soir, le brick, navire-amiral, prend de la gîte et est entraîné par le courant vers le rivage. Il se brise contre les rochers. Shawn se retrouve projetée en mer, par une voie d’eau et dérive, attachée au portique.
Après une journée de dérive, elle se réveille sur une plage de La Corogne. Un pêcheur galicien la libère et la réchauffe. Elle reprend goût à la vie et apprend que deux navires ont coulé dans la nuit.
Mais sur le troisième navire, où Arthur a transféré ses affaires, il a ordonné la capture des esclaves sauvés par les pêcheurs contre de fortes rançons. Shawn est estimée à 60.000 guinées, si elle est vivante et 80.000, si elle est capturée par un marchand d’esclave.
Le roi Charles III de Bourbon ignore la présence du convoi d’Arthur, quand la marine royale repêche des équipages britanniques et des esclaves nord africains. Peu avant sa vente, un des esclaves révèle à son marchand, à La Corogne :
– Un anglais m’a ausculté peu après notre embarquement à Gibraltar et a dit : « tu seras le pilonneur de l’anus de la britannique ». Quand j’ai vu la femme, elle était de dos, attachée à un portique, nue, pieds nus, avec une belle chevelure blonde, au corps patine et de déesse, ses fesses étaient rougies. J’ai dû lui honorer l’anus, qui semblait être moulé pour mon sexe, et parader avec elle, empalée sur mon mandrin, devant l’anglais. Elle semblait soumise à l’anglais, car elle devait le sucer jusqu’à la dernière goutte et recevait rarement à boire et à manger.
– Je vais en aviser mes informateurs. Une blonde britannique a dû peut-être survivre au naufrage. Si c’est le cas, j’en serais informé. Je t’affranchis et tu me confirmeras lors de sa découverte si c’est elle.
Selim est aussi à sa recherche avec Prisca. Selim dépêche ses informateurs en terre ibérique avec un croquis du visage de Shawn.
Fin octobre, Selim abandonne, mais il sait que Shawn est en lieu sûr. Le marchand d’esclave de La Corogne a conclut un marché avec Arthur, pour la capture, avec une quote-part de 70 % pour Arthur et 30 % pour le marchand.
Début novembre, c’est un ancien officier du Royal Cantabres, une unité de troupes légère espagnole, qui avait aperçu Shawn, à Marseille, qui la remet au marchand. Shawn est transportée en chariot non ouvert jusqu’au port de La Corogne, nue, pieds nus, les cheveux libres, agenouillée, les menottes fixées au cou, les cuisses écartées avec les chevilles menottées par des bracelets en cuir, les yeux baissés et la tête baissée où elle est remise à Arthur, de retour après une nouvelle vente.
Arthur annonce au marchand, en voyant Shawn debout, nue, saine et sauve :
– Voici ton dû, mon ami !
Le marchand reçoit ses 30 % sur les 80.000 guinées promises. Shawn garde les yeux baissés et la tête baissée.
– Depuis le 7 octobre, je suis à ta recherche, ma belle Marquise. En un mois, tu m’es revenue à moi. Tu as conservé ton caractère de poupée. Que l’on amène en cale avec son délateur !
L’esclave qui l’a dénoncé, l’accompagnera jusqu’au manoir.
Elle se retrouve attachée au portique, dos au geôliers cagoulés, qui la violent jusqu’à l’éreintement.
– Geôliers, elle est à vous. Pendant un mois, vous avez honoré son cul. Vous l’honorez à nouveau jusqu’à notre arrivée en terre d’Orange. (Shawn sait qu’il parle de l’Irlande) Les plus beaux mandrins de mes esclaves ont leur part.
Le premier geôlier, une nouvelle recrue, qui la sodomise :
– Elle a le cul bien ouvert pour une anglaise, ancienne marquise. Quel fut son maître ?
– Alban de Windsor. Des maîtres ont parfait son éducation à la mort d’Alban.
– Elle jouit sous ma queue, Arthur. Elle aime ça, la salope.
– Son anus est fait pour recevoir toutes les queues que Dieu a faites. Nul n’honorera sa chatte, ordonne Arthur.
Des esclaves nord africains la sodomisent à leur tour pendant les deux derniers jours de la traversée.
Le 8, huit esclaves nord africains, dont le délateur, entravés, rejoignent Shawn. Shawn reçoit ainsi un mandrin long de vingt-et-un centimètres et quatre de diamètre, circoncis. Un geôlier accentue la sodomie, en lui écartant les fesses et un autre geôlier la fesse.
– Regarde, la salope se dilate pour recevoir cette queue de l’africain. Coulisse, esclave dans le cul de ta maîtresse. Regarde, elle se cambre sous les coups de boutoir.
– Geôliers, libérez-la et qu’elle se mette à quatre pattes, sodomisée par l’esclave, demande Arthur, en spectateur.
Shawn se retrouve en levrette, les menottes de cuir fixées au cou, par des mousquetons au collier. Arthur fouette l’esclave et contraint le couple à ramper jusqu’au coin de la pièce. Shawn est ainsi coincée, sodomisée. Puis Shawn se redresse jusqu’à toucher son buste avec son dos, jouit très fort, face droite contre la bouche de l’esclave. Ses cris jouissifs sont étouffés par les mandrins d’esclaves et des geôliers qu’elle felle, empalée sur l’étalon.
– Qu’elle suce bien, la salope ! Avale, ma belle, en lui tenant la nuque, dit un des geôliers. Tu avaleras le sperme de tes amis.
Shawn s’exécute. On la rattache au portique et elle passe la nuit, l’anus rempli par l’étalon, qui se vide en elle.
Mastermind débarque à Whitegate, en Irlande méridionale, à 22 kilomètres de Cork. Les esclaves sont débarqués et embarqués dans d’autres navires pour la France.
Le brick repart à l’aube.
Mastermind s’occupe personnellement de Shawn. Shawn est levée, reste nue, pieds nus, les cheveux libres, on lui bande les yeux, enserre le cou d’un collier de cuir cadenassé et lui fixe des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles cadenassés. Deux geôliers la mettent dans un chariot cellulaire, dans le foin. Ses poignets sont fixés au cou et ses chevilles sont fixées à des chaînes de chaque côté du chariot et elle est allongée sur le ventre.
A chaque halte pour changer de relais, l’équipage et Mastermind la sodomise à sec et l’offre à des étalons bien membrés, en contrepartie de services.
Mastermind vit dans un vaste domaine à Castlemartyr.
Au bout d’une demi-journée de trajet, le fourgon franchit une entrée cochère, dont les portes se referment aussitôt. Le fourgon descend devant l’entrée du manoir. Là, des domestiques l’aident à descendre.
Soudain, une voix féminine annonce :
– Voici l’esclave Shawn, ancienne esclave de Maître Alban, notre défunt Maître. Elle correspond au descriptif (lui caresse les seins, s’attarde sur la chatte et l’anus. Shawn ondule son bassin sous les caresses). Mastermind sera heureux de finir son éducation.
Ses menottes des poignets sont fixées au collier. Elle est tirée par une laisse, la bouche libre, chaussée de mules à talons de sept centimètres.
– Officier, voici l’esclave Shawn. Alban a tenu qu’elle ait toujours l’anus épilé, ainsi que les jambes et les aisselles. Sa chatte velue intéressera certains invités. Qu’elle soit lavée et sodomisée par le geôlier Alan. Bobby la conduira ensuite. Elle n’est pas rebelle.
Là, dans les sous-sols, il enferme ses esclaves noirs et nord africains, qui offrent à ses invités. Les esclaves blancs sont enfermés dans des cellules, de petites chambres, dans un ancien donjon. Au premier étage du manoir, Shawn a droit à un traitement de faveur : une cellule plus grande, avec une grande fenêtre donnant sur la cour, un matelas à même le sol. Un crochet est suspendu au-dessus du matelas, avec une chaîne à longueur variable.
Alan lui retire le bandeau, la fait entrer dans la baignoire, lui lave les fesses meurtries par les fessées lors de la traversée, il lui épile les zones désignées. Shawn a les mains libres pour écarter les fesses et prendre des poses pour l’épilation de l’anus. Il lui fixe les menottes au collier, il la sort de la baignoire et elle le felle, les yeux baissés, accroupie, les cuisses écartées, il la sodomise en levrette. Elle garde les yeux et la tête baissée, soumise. Elle jouit, malgré le bâillon. Sa dilatation permet une sodomie profonde.
– Tu es une sodomite, ma belle (en lui tirant les cheveux en arrière, pour qu’elle se cambre davantage). Tu pourras certainement rejoindre le cercle de ton Maître.
Il décharge dans son anus.
Bobby prend le relais et la tire par la laisse, nue, en mules, les cheveux libres, les poignets menottés dans le dos.
Elle est conduite dans un vestibule, où des mains la caressent, apparaissant derrière des rideaux. Elle se cambre, sous les caresses de sa chatte et de son anus. Certaines mains la fessent. Elle jouit.
Après un quart d’heure d’attente, elle est conduite au sous-sol. On lui bande les yeux et les menottes sont fixées au collier. Elle attend debout, les cuisses écartées.
Elle est tirée en laisse sans ménagement, par Colin, un geôlier. Elle manque de perdre l’équilibre sur les marches usées.
Là, elle entre dans une grande pièce. Des mains s’affairent autour de ses hanches et de son buste, offerte sur un portique. Son anus est honoré à sec, Shawn est pieds nus, les poignets menottés à un crochet fixé dans le plafond, sur la pointe des pieds, les cheveux libres, les yeux bandés, bâillonnée.
Au bout d’une heure de sodomie, elle perd connaissance. On la détache. Elle est allongée sur le dos, sur une table, les bras tendus en arrière, les cuisses écartées, les poignets et les chevilles enserrées par des bracelets de fer fixés dans la table. Elle respire, la bouche libre, sans le bandeau.
Pendant ce temps, un africain, Hercules, doté d’un mandrin long de vingt-et-un centimètres et quatre de diamètre, circoncis, en érection, se branle. Il va s’occuper ensuite de Shawn.
Libre, elle se met en levrette, felle Denis, alors que Hercules la sodomise sans ménagement et Erwan se glisse sous elle pour lui honorer la chatte. Shawn est aux anges, honorée par trois mandrins.
Hercules la fesse pour la soumettre, lui écarte les fesses et de temps à autre, lui tire les cheveux en arrière pour l’empêcher de feller Denis. Shawn garde les yeux baissés pendant tout le coït.
Trois étalons se relaient jusqu’à l’éreintement.
Elle dort dans la salle du trône, en compagnie d’esclaves imberbes, aux corps zébrés et couverts de spermes des étalons.
A l’aube, Hercules la réveille, la prend en laisse, elle chausse ses mules et il la conduit dans sa chambre au premier étage. Il lui menotte les poignets à la chaîne et la sodomise, couchée sur le ventre. Elle jouit à nouveau. Il décharge dans son anus.
Shawn dort sur le ventre, les fesses rougies par les claques magistrales. Elle subira le même traitement jusqu’en décembre pour l’asservir.
1773
A 24 ans, Shawn est redevenue une esclave asservie à Mastermind. Ce dernier la fesse et la sodomise. Il l’offre aux plus belles queues d’esclaves africains et des nobles irlandais.
Shawn vit nue, pieds nus, les cheveux libres, un collier, des bracelets et des menottes aux chevilles en cuir plus léger, montrant sa soumission.
En février, une partie des esclaves dressés sont envoyés vers de nouvelles colonies des Caraïbes. Shawn, impuissante, assiste à leur départ dans des chariots à faible hauteur, enchaînés les uns aux autres, nus, les corps zébrés, affaiblis, sous la garde des hommes de main de Mastermind. Un maître repart avec une forte somme.
En juin, Shawn embarque à nouveau à bord du brick pour la tournée des ports méditerranéens. Elle soulage les officiers, en semi-liberté dans une cage de la dunette, à l’abri des regards, nue, pieds nus, les chevilles, les poignets fixés au collier, les cuisses maintenues écartées par une barre d’écartement, les yeux baissés et la tête baissée. Pendant quatre mois, jusqu’au retour en Irlande, elle subira l’assaut des plus beaux mandrins d’esclaves soumis, fessée et sodomisée.
Selim ne perd pas espoir de retrouver Shawn.