Shawn l’installe dans un domaine des environs de Kingston. Pendant un mois, elle se fait sodomiser et fesser par le comte, soumise.
1776
En février, elle se rend à Fort-de-France, à bord d’un navire effectuant la liaison entre Kingstown et Fort-de-France, avec escale à Castries, à Sainte-Lucie, qu’elle atteint en un mois.
En mars, à Fort-de-France, elle se présente aux officiers qui la courtisent :
– Je suis une noble française, en quête de terres ayant appartenu à mes parents.
Elle leur présente un écrit notarial authentique.
Elle devient l’amie de l’état-major qui s’offre à elle. Les généraux la sodomisent, tout en lui offrant la vue sur l’organisation de la défense de l’île, tenue par l’artillerie de marine. Deux officiers lui font visiter les forteresses stratégiques.
Lors d’une visite d’une forteresse, un général bien membré l’invite :
– Shawn, laissez-moi vous honorer le cul !
– Faites, j’aime recevoir des grosses queues dans mon cul de salope.
– Vous êtes une salope, belle et capricieuse.
– Oui, défonce-moi mon œillet de salope… En coulissant pour s’empaler.
Il décharge sur ses fesses. Elle est heureuse.
Elle séjourne dans les casernes, sur les terres présumées de ses parents, s’offrant le gratin des troupes coloniales et navales. En un mois, elle a une vue d’ensemble.
Lors d’une soirée, des officiers la prennent en double pénétration jusqu’à l’aube.
Vers la fin du mois, un lieutenant de vaisseau l’invite :
– Shawn, je vous invite chez moi. Etes-vous une soumise ?
– Oui, j’aime être fessée et sodomisée par mon maître.
Au salon, nue, elle est fessée puis sodomisée par le lieutenant de vaisseau, attachée entre deux piliers.
– Aimez-vous les belles queues longues dans votre cul de soumise. Voici votre ration.
Elle se fait sodomisée par des esclaves noirs. Shawn s’est abandonnée à son maître.
Elle repart et met le cap vers la Dominique et Pointe-à-Pitre, pour les mêmes motifs, qu’elle visite respectivement en deux semaines et un mois. A Pointe-à-Pitre, elle a un sauf-conduit pour Saint-Barthélemy et la zone française de Saint-Martin, qu’elle visite en deux semaines chacune.
En novembre, elle rentre à Kingstown, avec les plans précis des forts et forteresses. Le comte a racheté Amber et Brittany, les amies de Shawn en Irlande, en 1769. Le comte continue à les fouetter et à les sodomiser dans la grange, où elles vivent recluses. Shawn le remarque un soir, lors de l’absence du comte, peu après le repas. Elles sont menottées à un crochet, les pieds en pointe, nues, pieds nus, les cheveux libres, à la limite du déséquilibre, l’anus rempli par un godemichet en bois long et fin. Amber raconte à Shawn (Shawn est nue, pieds nus, les cheveux libres), son amie :
– Shawn, depuis six mois, le comte nous fouette et nous sodomise, en compagnie d’invités (sélectionnés sur le volet, parmi la bourgeoisie). Nous avons été nourries de sperme et rarement eu droit à un repos.
Le comte accepte :
– Vous aurez deux jours de repos. Shawn vous soignera, en étant que votre maîtresse dès ce jour.
– Je vous donnerais des fessées, tout en vous sodomisant digitalement. Le comte vous fouettera que s’il y a faute et pour la soirée hebdomadaire des invités, réplique Shawn. (Shawn est devant ses esclaves, agenouillées à ses pieds, les cuisses écartées, les yeux baissés et la tête baissée, soumises).
Le soir même, elles se relaient pour solliciter le comte et se font sodomiser à tour de rôle. Les conditions s’améliorent, mais elles ne seront jamais sorties du domaine et elles ont chacune un tabouret pour leur soumission anale. Elles deviennent des soubrettes en journée et le soir, elles sont soumises à Shawn. Shawn est fessée une à deux fois par semaine et sodomisée deux à trois fois par jour. Shawn s’offre à Troy, pour lui rappeler ses séjours aux Antilles françaises.
Le juge des Antilles
En décembre, un voilier britannique fait escale à Kingstown, un bel étalon en descend. A 27 ans, Shawn est séduite. Il se trouve être un juge, venu de Virginie, exercer aux Antilles britanniques, de 20 ans son aîné. Shawn ne sait pas qu’il a fait exécuter les prostituées d’Alban, sur ordre du roi George III, pour châtiments corporels, dressage et incestes. Aucun registre n’était ouvert par Alban et les autres maîtres britanniques sur les esclaves. Nul ne connaît le passé de Shawn aux mains des maîtres britanniques et ses maîtres français l’avaient surnommée la blonde dominatrice sodomite aux yeux verts.
Sean, Silver, Sylvain et Stephen sont arrêtés par la police et sont traduits devant le juge, qui les fait emprisonner à Londres, pour châtiments corporels, dressage, assassinats d’esclaves et morts de marins et de prisonniers. Un second jugement les condamne à mort et ils seront exécutés en 1777. Shawn n’a aucune nouvelle de Sean, ni de son jugement et de son départ clandestin.
Elle sait que le juge libère les esclaves du domaine de Saint-Vincent et de Tobago, pour les remettre à de nouveaux maîtres.
Le comte Delanoy forme une secte secrète au cœur d’une des îles de Saint-Vincent, où il envoie Amber et Brittany, avec quelques esclaves noirs qu’il a racheté. Shawn affranchit Troy. Shawn vit dans le domaine du comte, à Kingstown, fait détruire la grange, fondre les objets métalliques, nul ne peut soupçonner des activités de dressage. Le juge ne peut la soupçonner.
1777
En janvier, le juge Justin rend visite à Shawn. Elle le reçoit, vêtue d’un chemisier blanc et d’un paréo, pieds nus, les cheveux libres. Le juge lui révèle :
– Je connais une partie de votre passé en Angleterre, comme esclave d’Alban, vous étiez à Falmouth et à Shannon. J’ai de rares témoins. Vous êtes une femme magnifique, qui aime la perversion et la domination.
– Oui, monsieur.
– Je sais que vous ne portez aucune marque de fer sur le corps, ni de zébrures du fouet. Vos maîtres vous ont préservée. J’ai lu vos mémoires publiées sous le manteau en 1768. Vous avez occulté certains noms, en stéréotypant les personnages, mais ils sont déjà morts, vous libérant de leurs jougs. Sean était le dernier sur la liste. Vous aimez la domination et vous êtes intelligente, capricieuse. Devenez ma secrétaire à mon domicile ou je vous livre au roi comme complice de Sean ?
– J’accepte d’être votre secrétaire.
– Tu vivras nue chez moi. Je fixerais les règles.
Le juge la quitte. Shawn prend le strict nécessaire et se rend à cheval sur les hauteurs de Kingstown, dans une ancienne maison de maître, un second cheval porte ses bagages.
Là, elle franchit un portail en fer, cachant la vue de l’extérieur et un grand mur d’enceinte. Le juge vit dans un lieu protégé par un détachement de soldats du gouverneur. Quand Shawn descend devant le perron, des domestiques prennent ses bagages. Les chevaux sont menés à l’écurie.
Le juge lui bande les yeux par derrière. Elle franchit le perron et entre dans le couloir. Elle se retrouve nue, pieds nus sur le marbre froid. Elle entend un cliquetis. Un collier de cuir et des bracelets de cuir aux poignets sont cadenassés. Le frère du juge, Jason, lui caresse les seins, excite les mamelons qu’il pince, roule et tire, alors que Shawn ne peut le toucher, les mains menottées dans le dos. Puis les mains glissent sur le ventre et la chatte, il déniche le clitoris qu’il excite. Shawn jouit.
– Elle ruisselle, la belle ! Ses seins sont petits avec plein de charme, dit Jason.
– Voyons ses fesses, réplique Justin.
Shawn est invitée à se pencher en avant, les cuisses écartées, dans une pose osée. Ils lui caressent les fesses, les pressent, les pincent, les pétrissent. Une langue passe sur la peau entre les orifices génitaux et l’anus, elle jouit.
Au moment inopportun, Shawn embouche Jason, en érection et Justin la sodomise après un anilinctus royal, avec son mandrin long de dix-huit centimètres et trois de diamètre. Shawn ondule son bassin et s’empale sur le mandrin de Justin, en fellant en experte.
Ils déchargent dans sa bouche et son anus dilaté. Puis un esclave noir bien membré la tire par une laisse et la fait monter l’escalier de marbre vers le premier étage, où se trouve sa chambre.
Là, on lui retire le bandeau et lui libère les poignets, mais elle garde les bracelets. Elle découvre un tabouret comme chez Alban.
Elle reste seule avec une domestique noire. La domestique la baigne, lui épile les aisselles, les jambes et l’anus.
Elle lui mouille les poils pubiens. Elle lui pince les lèvres vaginales et appuie sur le clitoris, qui la fait jouir. Elle coupe les mèches humides du pubis et jette les poils dans la bassine, dévoilant les lèvres allongées de la chatte, décollées. Elle étale la crème sur les poils des lèvres de la chatte. Elle l’invite à mettre les talons sur le tabouret. Elle a les genoux remontés, les cuisses écartées, dévoilant son sexe et son cul. Ses grandes lèvres s’écarquillent. Elle fait mousser la crème à raser avec le blaireau, en masquant le pubis, mais laissant à nu les lèvres vaginales. Elle prend ensuite le rasoir et dégage autour des lèvres et du clitoris jusqu’à la naissance de la vulve. Lorsque elle arrive autour des lèvres, elle a un premier orgasme. Pour dégager son anus, Shawn lève sa jambe et tire sur ses fesses. Elle taille le pubis en un triangle parfait. Pour la débarrasser des dernières traces de mousse, elle rince le blaireau et le promène sur le sexe. Shawn s’ouvre sous les caresses clitoridiennes et vaginales. Elle insiste sur la vulve et le clitoris. Shawn ruisselle, ondule, ses hanches ondulent, sous les titillations insidieuses du blaireau. Tout à coup, elle enfonce le blaireau dans la chatte, dont Shawn ouvre la vulve des deux mains et pousse son bas-ventre vers l’avant. Juste avant qu’elle ne jouisse, elle retire le blaireau puis enduit d’une huile les zones un peu irritées.
Après le rasage, elle lui rince le pubis et la chatte avant l’orgasme.
Shawn prend place sur le tabouret, où un godemichet de calibre moyen lui remplit l’anus dilaté. Elle garde la tête baissée et les yeux baissés. Jason et Justin l’ont observé par des judas cachés dans murs aux angles stratégiques.
Troy lui est affecté pour l’honorer selon les désirs des maîtres. Un second esclave noir lui est affecté, c’est Caesar, exilé de Minorque. Shawn est libre d’étudier la vie sexuelle britannique et des tribus africaines, de rédiger ses mémoires.
Les repas sont pris à la salle à manger, empalées sur les tabourets ou sur les mandrins des maîtres. Elle n’est pas la seule blanche, trois jeunes beautés résident dans les autres chambres. Toutes vivent nues, pieds nus, avec un collier et des menottes en cuir gravées à leur initiale.
Lors du premier repas, Shawn doit feller en même temps, entre deux plats, un des esclaves noirs et avaler son sperme jusqu’à la dernière goutte. Elle le fait en experte, laissant le sperme sur le mât et le gland. Le mandrin est entièrement nettoyé.
Quand Justin est à la cours ou en visite dans Saint-Vincent ou les îles, Jason les surveille.
L’après-midi, les quatre femmes soulagent leurs maîtres, sodomisées par les esclaves, allant jusqu’à la double pénétration. Quand l’anus n’est pas rempli d’un mandrin, un godemichet en bois ou une banane, un concombre, une carotte ou une bougie fait office. Shawn ne s’est jamais fait sodomiser par l’embout d’une bougie arrondie. Elle se dilate bien, qu’une longue et grosse bougie lui est attribuée. Sa chatte n’est honorée qu’après l’orgasme anal, dans des positions de missionnaire ou de pals, l’anus est honoré en levrette et debout. C’est ainsi qu’elle passe une partie de sa première après-midi, les poignets fixés à une barre reliée à une chaîne dans le mur, les cuisses écartées, les chevilles menottées à des chaînes fixées au sol, sur la pointe des pieds, la tête baissée et les yeux baissés, au centre du salon, observant le coït de ses compagnes, sodomisée tantôt par les esclaves tantôt par ses maîtres, qui la fessent. Elle reste silencieuse et jouit faiblement. Elle est abandonnée ainsi quelques instants pour de nouveaux jeux érotiques où elle ne peut se caresser, ni serrer les cuisses. Sa chatte ruisselle, la cyprine coule le long de ses cuisses et elle fantasme.
Le soir, après le bain, elle reste dans la chambre, non désirée par ses maîtres, empalée sur le tabouret ou menottée, suivant les emplois de la nuit. Lorsqu’elle est menottée, ses bracelets sont fixés à une chaîne à longueur variable relié à un crochet est suspendu au-dessus du matelas. Si elle est menottée, avant le coucher du soleil, elle attend agenouillée, les cuisses écartées, talons contre fesses, le torse droit, les yeux bandés. Elle est nourrie de sperme jusqu’au coucher du soleil, lors de fellations successives. Elle a droit à une heure de repos, couchée en chien de fusil, avant sa sodomie. Puis elle est bâillonnée et les yeux bandés, pour ne crier ni voir ses geôliers tirés au sort, car chaque esclave a deux esclaves noirs attitrés que les trois ne connaissent pas. Le premier soir, Shawn croit reconnaître le mandrin du Stag, c’est lui, quand aux deux autres, elle ne peut les identifier. Elle est fessée en levrette, avant et après sa sodomie, qui a lieu à diverses heures de la nuit. Shawn ne peut entendre ses compagnes, car des murs épais atténuent le bruit.
En mai, Jason envoie les compagnes de Shawn vers Londres, pour une nouvelle éducation, à bord de négriers. Shawn fait la connaissance du domaine de Fort Charlotte, où se trouve une prison pour femmes. Shawn vit nue dans une petite villa, aux volets fermés, éclairée par de faibles torches, sodomisée par les gardiens noirs et le chef de la prison. Jason et Justin lui rendent de temps à autre visite pour lui apporter à manger. Shawn perd la notion du temps, violée de jour comme de nuit, toujours entravée par le collier et ses bracelets aux poignets et aux chevilles. Troy, Caesar et le Stag l’honorent aussi, en spectacle devant les invités de la prison, que Shawn doit soulager et se faire sodomiser par eux.
Après un mois de traitement, elle est ramenée chez Justin, où elle n’est plus une esclave, mais la maîtresse de Justin, qu’elle doit soulager, en compagnie de Troy, Caesar et le Stag, qui sont eux affranchis. Justin la fesse de temps à autre et la sodomise une à deux fois par jour.
Elle n’a plus de collier ni de bracelets en cuir, ni chaînes dans sa chambre, mais garde le tabouret. Shawn est enceinte de Justin. Son enfant sera envoyé à une nourrice à sa naissance, en septembre et Shawn n’aura aucun droit sur lui.
1778
Après un an au service de Justin, elle quitte Saint-Vincent avec ses esclaves affranchis pour la France. Justin et Jason partent vers d’autres îles des Antilles britanniques, avec de nouvelles esclaves du comte Delanoy.
Lors du voyage, en longeant l’Afrique musulmane, le navire se brise lors d’une tempête, entre Madère et les Canaries, Shawn et ses esclaves sont les rares survivants. Des nomades chérifiens les capturent. Les esclaves sont vendus à un marchand pour les terres agricoles chérifiennes et Shawn est envoyée à bord d’un bateau à Casablanca pour être vendue.
Là, Selim lui rachète sa liberté au prix fort. Elle vit dans une palmeraie isolée du sud. Elle a huit favorites et douze esclaves sous ses ordres. Sa parfaite maîtrise de l’arabe et du français en fait d’elle une femme respectée pour ses goûts et désirs sexuels. Elle a droit à une vaste chambre avec une vaste baignoire profonde, où elle fait quelques longueurs, elle passe des heures, nue, à se prélasser, lire et à se masturber seule.
Ses rares sorties se font en ville, voilée, sur son corps nu. Les amants qui ont voulu la violer, la croyant accessible, sont morts sous ses coups de dague et de simeterre bien ajustés.
En juillet, elle apprend par la mission diplomatique française à Casablanca, la mort d’un des parents de la famille d’Albret. Elle rejoint Marseille, à bord d’un navire, sans escorte, en compagnie de ses trois esclaves qu’elle a racheté, après de longues négociations commerciales et diplomatiques, comme lui avait appris Selim.
Elle rejoint l’Albret, en Aquitaine et assiste à l’enterrement. Sa venue est un rayon de soleil, dans une famille en exil. Elle cache son histoire depuis la mort de son vrai père, seul le dernier grand-parent connaît sa filiation.
Les jeunes garçons rêvent de la posséder.
Dès le premier soir, Shawn dort dans un des hôtels particuliers de la région, appartenant à la famille. Elle est logée chez le neveu, un des aînés de Albret, Victorien, de 10 ans son cadet à La Réole. Après le souper, Shawn se baigne seule dans sa chambre, se fait jouir avec des caresses sensuelles. Victorien l’épie en se branlant, subjuguée par sa croupe, son corps de déesse et sa petite poitrine. Mais ce qui l’intéresse, c’est si Shawn est une adepte de la sodomie. Elle lui prouve ensuite, allongée sur le ventre, nue, pieds nus, les cheveux libres, les cuisses bien écartées. Son anus étoilé se détache entre ses fesses. Il la voit plonger un puis deux doigts dans l’anus. Elle jouit, se cambre. Il entre à pas de loup et s’approche d’elle, retire délicatement les doigts de l‘anus lubrifié et loge son gland en douceur. Shawn a les yeux clos et respire bruyamment. Le gland puis le mandrin s’enfonce. Shawn se met en levrette, s’empale sur le mandrin, les seins pelotés, la taille serrée par les mains agiles de Victorien. Victorien lui caresse le clitoris et il la conduit à l’orgasme. Il décharge sur ses fesses. Elle est repue et s’endort. Il lui remet les deux doigts dans l’anus, Shawn reprend sa sodomie digitale, comme si ne rien n’était.
Le lendemain, les neveux Silvestre et Théophile, âgés de 17 et 18 ans, sont invités chez Victorien. Victorien leur raconte :
– Cette blonde a un quelque chose. C’est la première fois que j’ai vu une femme jouir, en plongeant deux doigts dans son cul. Elle a absorbé aussi ma queue et elle a joui.
Shawn les reçoit nue, sans pudeur. Elle les felle en experte, les gratifiant de caresses des couilles et mise en bouche.
– Mes chéris, prenez-moi : un dans ma chatte, un dans mon cul et un que je felle.
Ils s’exécutent. Shawn est d’abord couchée sur Victorien, sodomisée par Silvestre et felle Théophile. Puis elle s’empale dos à Victorien, l’anus honoré, les cuisses écartées, la chatte est remplie par Théophile et felle Silvestre. Shawn est ravie. Agenouillée, elle reçoit leurs spermes en bouche.
L’après-midi, Shawn est conviée par Victorien, à se rendre chez le cousin Rodrigue et la cousine Prudence, âgés de 16 et 17 ans, à Langon. Elle dépucèle le cousin et initie Prudence à la sodomie. Rodrigue observe Shawn qui le felle, en retardant l’éjaculation, puis elle s’empale face à lui. Il lui caresse les seins qu’elle lui offre, alors que Victorien sodomise Shawn, devant Prudence, surprise. Les deux mâles éjaculent dans sa bouche.
Shawn demande à Prudence :
– Tu veux jouir comme moi, du cul ?
– Non, c’est dégoûtant.
Shawn la persuade, comme lui a appris Zara et la belle jouit, alors que Shawn lui caresse le clitoris jusqu’à l’orgasme.
Au deuxième jour, elle est invitée chez Octave, un oncle, un ancien marquis, de 30 ans son aîné, bien portant, à Libourne. L’après-midi, Octave la conduit à l’antichambre du château où il vit. Shawn découvre que c’est un adepte des jeux sexuels. Des hommes cagoulés, nus, la reçoivent. Octave lui annonce :
– Shawn, je veux vous voir jouir, prisonnière. La sodomie est uniquement autorisée.
– J’ai déjà vécu cette expérience.
– Vous avez subi le fouet ?
– Non, j’ai été fessée par mes maîtres et sodomisée par des mandrins de tous les calibres.
– Amenez-la au banc.
Shawn est conduite au banc, avec un collier et des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles, nue, pieds nus, les cheveux libres.
Le banc est assez haut sur pieds, en forme de poutre, dont les pieds sont plus bas que ceux de derrière, qu’ils placent au milieu du salon. Shawn se place à califourchon. Il lui fixe des menottes autour des poignets et des chevilles. Shawn a la tête en bas et la croupe en l’air. Il pèse sur la nuque et lui fait baisser la tête. Shawn est prisonnière. Sa croupe est offerte. Enfin, le mandrin gros et court, dont le gland force l’anus dilaté. Il la lime violemment, lui écarte les fesses et lui tire les cheveux en arrière. Shawn jouit sous la sodomie, en fellant un second geôlier. Il décharge dans son cul.
Un geôlier la fait coucher en travers de ses cuisses, il la fesse tout en la sodomisant digitalement. Shawn y prend du plaisir pendant une demi-heure.
– Ca brûle ! s’exclame Shawn, sous les claques sur ses fesses.
– Deux claques à la minute entretiennent la sensation, réplique le geôlier.
– Ca m’excite !
Octave est satisfait de son éducation. Libre, Shawn soulage Octave, en le fellant et reçoit son sperme en bouche.
Les geôliers la prennent ensuite en double pénétration, à tour de rôle, libre. Parmi les geôliers, se trouvent Modeste et Norbert, deux des fils de Octave, âgés de 23 et 25 ans.
Après ses jeux sexuels, elle se baigne et dort chez Octave, en compagnie de Modeste et Norbert, qui l’honorent et la font jouir.
Au quatrième jour, elle est envoyée chez Louis, son beau-père, de 15 ans son aîné, à Saintes. Il aime les jolies femmes, peintre et aimant la lingerie féminine. Pour lui, Shawn parade en bas et mules, le reste du corps nu, accessible. Il l’honore dans les diverses pièces de la résidence, entre deux poses. Shawn le baise, en le ligotant à son lit, à sa demande et le fesse, le sodomise. Shawn devient dominatrice. Shawn prend du plaisir, décidant du moment où il jouira en elle.