Fessées et punitions physiques

Suite à nos différents articles portant sur la gynarchie et la discipline conjugale, nous allons évoquer aujourd’hui quelques méthodes des plus utilisées pour appliquer avec technicité les punitions physiques indispensables à une bonne rééducation. En effet, il est indispensable que la dominante traduise les sanctions ordonnées par des punitions physiques de qualité venant s’ajouter aux restrictions, pénalités, et autres punitions touchant au mental du sujet. En effet, suite à des fautes constatées, la véritable dominante ne se bornera pas à de simples remarques. Dans une véritable rééducation ce sera plutôt un mixte entre punition physique, remarques, convocation pour explications , restrictions. Les punitions physiques marqueront l’esprit du soumis et chaque matin il sait qu’au moindre écart  le couperet peut tomber. Le soumis esclave apprend dès les premiers jours qu’il va  être en permanence sujet à des punitions physiques.

Il semble indispensable d’évoquer la plus basique des punitions mais aussi l’une des plus marquantes moralement et physiquement : la fessée. Cette mesure souvent mise de côté représente pourtant le cœur d’une discipline simple et efficace. Elle a l’avantage de pouvoir être appliquée sans respect de protocoles complexes. 

La fessée, définition : Mesure disciplinaire permettant de placer le mental du sujet soumis au niveau de celui de l’enfant indiscipliné puni par la Maîtresse. Le contact de la frappe qui est manuel va intensifier le sentiment de supériorité  de puissance de la femme. Contrairement à d’autres punitions, elle va bénéficier d’une mise en œuvre simple. Elle peut être donnée de différentes manières. Nous allons voir deux exemples simples : 

Exemple 1 : Fessée manuelle sur genoux pour un soumis en appartenance depuis 3 mois . 

« Vas chercher ma brosse à cheveux et tu mets immédiatement ton plug de discipline ! Oui le gros et le trot !! Quand je dis plug de discipline c’est toujours le gros tu devrais le savoir depuis 3 mois. Viens ici tu m’enlèves ton tablier et ton cache sexe que tu poses ici au sol. Tu prends la position allongée sur mes cuisses. Non ! non !! et non !!  Pas comme ça !! Les testicules bien en contact avec mes bas et ta cage pendante entre mes cuisses. SI tu bouges je te compresse les boules. Voilà ! Parfait. Tête plus basse je ne veux voir que ta nuque et ton tatouage, tes mains au sol, tes jambes tendues, tes cuisses écartées. Tu laisses la brosse posée à ta portée pour la suite. Tu vas prendre une double séance pour l’erreur de ce matin au sujet du sac de l’aspirateur que tu avais oublié de vider. Ce sera 80 à main nue, 80 à la brosse ! La prochaine fois, tu sauras qu’il faut veiller à changer le sac quand il est plein. « Oui Maîtresse » !! 

Exemple 2 : A genoux, même Maîtresse avec le même soumis  dans une position encore plus vexante. 

« En position 21 à genoux au tapis, cuisses bien écartées bras tendus au sol, front et nez plaqués au sol. Tu vas en prendre une bonne !! Celle-là tu vas t’en souvenir !!” 

La Maîtresse s’assoit à califourchon sur le sujet, son entrecuisse posée sur son dos. Elle a face à elle les fesses du sujet et débute la fessée. Un coup sur dix elle frappe de sa main les testicules du soumis ce qui ne manque pas de le faire sursauter et hurler.

« Tu écartes un peu plus les cuisses que je vois bien ta raie et ton plug. Tu vas déguster, je pense que tu auras du mal à t’asseoir pendant une semaine. On commence ! échauffement fessier au paddle ensuite à la main !! Tu resteras nu toute la journée en corvées afin que j’admire tes fesses » 

Pardon Maîtresse ! 

« 20 de plus pour avoir demandé pardon !! » 

Punitions physiques plus élaborées : 

Nous allons voir que les punitions physiques inscrites dans une symbolique  plus élaborées réclament un matériel plus perfectionné. Le banc punitif semble être la base. 

Description : Le banc punitif est composé d’une plaque de bois épaisse de 2.5 à 3 centimètres, longueur 2 mètres, largeur 80 cm. Elle est recouverte de mousse épaisse, elle-même recouverte d’une toile synthétique, imitation cuir, tendue et agrafée. La plaque doit reposer sur une structure basse et solide à environ 60 à 70 cm du sol. 

La plaque sera perforée au niveau du visage afin que le sujet ne puisse voir que le sol pendant la punition. Seconde perforation au niveau du sexe, soumis allongé sur le ventre.  Des dispositifs composés de courroies permettent d’attacher le soumis lorsqu’il est en punition. 

L’installation impose bien entendu de pouvoir disposer d’une certaine surface. Idéalement une petite pièce dédiée. Beaucoup de Maîtresses lorsqu’elles recherchent des candidats de sujets soumis réclament des connaissances certaines en bricolage. La fabrication du banc par le soumis ajoutera à l’aspect disciplinaire.

Exemple 3 : Punition au banc pour un soumis présent depuis un mois en pleine rééducation. 

« Tu arrêtes tout et tu montes au premier pour ta punition. Tu m’attends entièrement nu allongé sur le banc. »

Oui Maîtresse ! 

« Non ! ta tête doit être bien en contact avec la circonférence du cercle ajouré. Très bien ! Tes pieds dans les sabots latéraux, plante des pieds reposant sur le support métallique.
Bras de chaque côté de la plaque pour que je puisse t’immobiliser.
Voilà !! Très bien !! Tu sais pourquoi tu es puni je pense. Ce sera 50 coups de paddle en cuir, celui que tu aimes bien. Même punition que la semaine dernière et ce sera comme ça pour chaque erreur du même niveau. Tu verras que très vite tu vas t’assouplir, et mieux écouter mes ordres. Tes six premiers mois en discipline renforcée vont t’habituer à ramper. Juste après ta punition tonte disciplinaire comme chaque quinzaine, plug de discipline et à poil en baskets et au boulot ! Tu vas marcher au pas tu peux me croire, je vais te modeler et te façonner. »

« OUI CHEFFE ! » 

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