La discipline

Beaucoup de femmes dominantes considèrent la discipline en soumission comme étant placée au centre de la vie gynarchique mais la plupart ne formalisent pas les règles à mettre en place pour obtenir un bon résultat.

La plupart d’entre elles estiment devoir tout improviser. Ce document devrait pouvoir les aider à suivre une véritable méthodologie. En effet nous allons voir que le sujet soumis a un réel besoin d’organisation. Sans le tuteur d’une discipline organisée il parait complexe d’obtenir un bon résultat sur la durée. Le soumis se comporte mieux psychiquement s’il sent qu’il est techniquement bien encadré, bien dressé, bien rééduqué.

Les règles disciplinaires doivent être avant tout connues du soumis et listées. Dans certains cas il est même souhaitable de les faire apprendre au sujet soumis et l’interroger jusqu’à leur parfaite connaissance ce qui est un excellent exercice de rééducation surtout s’il est noté et sanctionné.

Le soumis obéit à des pulsions sexuelles régulières le poussant à vivre aux pieds de la femme. Il doit bien comprendre que le cadeau qui lui est ainsi fait par sa dominante a un coût et cette contrepartie se nomme la « discipline ».

Nous allons étudier ici les éléments liés aux règles de vie généralement en place au foyer. Ces dispositions sont capitales, elles sont pour le mâle soumis le fondement de son appartenance totale à une femme. Pour elle, elles sont le sel de sa suprématie.

Discipline stricte

– Les mesures qui composent la discipline en place doivent être connues parfaitement du sujet afin de ne jamais le prendre en traitre et l’intégrer parfaitement et naturellement dans son processus de rééducation et donc dans sa vie de soumis.

– Un bon soumis fonctionnant bien, bien dressé et rééduqué connait et craint la discipline surtout si dés le départ il a été pris en main par une femme dure et très « technique ». Le soumis confirmé et rééduqué aura perpétuellement en mémoire l’époque de sa mise au rythme et de son dressage, époque durant laquelle il aura appris à vivre dans un contexte disciplinaire stricte. Le soumis une fois totalement modelé et façonné, la discipline ne disparait pas de son quotidien mais il s’implique dans un moule disciplinaire personnalisé pour sa plus grande quiétude et celle de sa Maîtresse.

– En aucune manière le sujet n’est autorisé à donner son avis encore moins remettre en cause d’une manière ou d’une autre une règle de discipline instituée au foyer.

– Les règles disciplinaires doivent être claires et strictes afin de ne jamais faire l’objet de la moindre observation ou contestation. Règles permanentes pour débutants ou confirmés : Aucune remise de peine, aucune sanction allégée, pas de contestation.

– Les niveaux de mesures punitives inscrites dans le code disciplinaire seront idéalement tarifés et appliqués systématiquement fonction des fautes.

– La discipline comportera plusieurs niveaux ou régimes disciplinaires pouvant être décidés et appliqués pour des durées précises et cela fonction du comportement du sujet.

Variation de niveaux

Les changements de régime disciplinaire pourront intervenir sans préavis et sur simple décision de la femme dominante si elle le juge utile. Un renforcement disciplinaire s’il est jugé bénéfique pour une, deux ou trois semaines ou plusieurs mois pourra être simplement décidé du jour au lendemain dans le but d’améliorer le fonctionnement du sujet. C’est ce que certaines dominantes nomment » une mesure d’assouplissement temporaire » où beaucoup plus simplement un « serrage de vis ».

L’assouplissement temporaire où serrage de vis

Il est en général décidé suite à un constat de relâchement dans l’obéissance, un manque de dynamisme, une perception de lassitude chez le sujet.
Suite à une punition exemplaire, on peut aussi observer chez le soumis un changement de caractère, le soumis devient lointain et au bord de la désinvolture.
Il arrive aussi qu’il s’enferme dans une sorte de nostalgie.
Le renforcement de la discipline pour une période déterminée replace en général rapidement le soumis sur les rails.
Chaque Maîtresse décidera du niveau d’assouplissement nécessaire et pour quelle durée.

Exemple : « On va resserrer la vis pendant deux semaines, je souhaite faire un test concernant ta souplesse. Allez au travail ! Après l’alimentation tu prépares ton matériel pour t’occuper de mes pieds. »
– Oui Maîtresse !

Discipline et sanctions

La discipline ne doit pas être confondue avec sanctions. Elle règle et organise la vie du sujet comme une route balisée avec un code. C’est un ensemble de règles comportementales, habitudes et rituels dans lesquels le sujet baigne en permanence. Il doit comprendre que chaque écart est évalué puis sanctionné. Les éléments liés à la discipline seront idéalement affichés sur un tableau de communication où dans un classeur à disposition du sujet.

La discipline devra assez rapidement être intégrée dans une normalité de vie et ne sera jamais discutée sur un point quelconque. La discipline devient la loi du foyer dont la femme est la Cheffe. Son obligation sera de la faire respecter de façon stricte, ordonnée et efficace.

Dés son intégration ou lorsque la décision est prise de transformer le sujet en soumis-esclave, la liste de familles d’infractions doit être dressée. Il y aura lieu de lister des situations concrètes afin d’éviter toute forme de contestation de la part du sujet. Nous allons prendre quelques exemples plus bas. Prévoir une liste la plus longue et la plus détaillée possible afin de ne pas être prise en défaut.

Discipline et normalité de vie

– La discipline devra devenir un automatisme à partir du moment ou le soumis-esclave est formé d’où l’importance de l’affichage du tableau à la vue du soumis où même sa relecture durant une convocation.

A ce stade une rééducation de qualité peut débuter.

– Dés le début et même par la suite, la moindre infraction fera l’objet d’une sanction prévue au tableau afin de bien intégrer le soumis dans le moule disciplinaire. La règle la plus importante consiste à informer le sujet qu’il n’existe aucune dérogation lorsque la sanction tombe sur ses épaules et qu’il est inutile de demander pardon suite à une infraction. De plus, bien lui préciser que le niveau de mesures punitives qui va être appliqué correspond à celui inscrit sur la tableau d’affichage et qu’il n’y a aucune modification possible.

– Il semble également important de rappeler à nouveau au soumis juste avant la mesure punitive, le motif de la sanction en lui expliquant que la discipline est nécessaire pour améliorer son comportement et qu’il va payer sa faute, ce qui est nécessaire pour son amélioration. Rappeler que le but est d’obtenir un vrai soumis souple, obéissant, n’ayant plus rien à décider , seulement se taire et obéir aux ordres afin qu’il s’accomplisse totalement.

Tableau des fautes comportementales ( exemple)

Fautes comportementalesniveautype
refus d’une corvée4lourde
refus d’un ordre4lourde
lenteur d’exécution3grave
refus de nourriture ou boisson3grave
refus port d’une tenue4lourde
contestation ordre4lourde
soupirer, souffler4lourde
insulte5lourde
contestation d’une mesure4lourde
refus travaux supplémentaires3grave
étourderie dans une mission3grave
parler sans y être autorisé3grave
vol de nourriture4lourde
dissimulation de nourriture4lourde
omission dans un rituel5lourde
plainte suite augmentation corvées5lourde
omission dans une tenue imposée5lourde
retard suite à un ordre5lourde

– On notera que les fautes comportementales ou « fautes C » sont parfaitement définies en rapport avec l’esprit de discipline mis en place par la femme dominante au foyer. La femme dominante devra se comporter en technicienne assurant une rééducation complète.

Annoncer la faute et le niveau de sanction :

– Lorsque la faute est découverte, la dominante annonce calmement l’infraction et y ajoute la qualification de la sanction sans attendre. Le soumis sait qu’il doit la boucler et doit inscrire immédiatement la décision de sa Maîtresse sur son cahier de discipline.

Exemple 1 chez un soumis venant d’arriver il y a 2 mois:

« Tu es en retard ! A genoux face à moi !! J’avais ordonné 9h00 placé ici en position d’attente. Il est 9h04. Tu gagnes donc une sanction niveau 5, faute lourde, la prochaine fois tu feras attention et tu écouteras mes ordres. Tu es ici depuis deux mois et tu connais le tarif puisque tu as du l’apprendre par cœur. Allez debout et au travail !! A 14h en position d’attente n°2 entièrement nu, mains sur la tête, station grand écart, face fauteuil pour un interrogatoire de discipline bien serré. Tu vas marcher au pas crois moi !! Tu peux t’attendre à un bon serrage de vis. Et ne fais pas cette tête. Je t’annoncerai le contenu des punitions à 14h . » OUI MAITRESSE !

Exemple 2 chez un soumis confirmé, en appartenance depuis 3 ans ( retraité) :

« Je t’ai entendu soupirer il y a une minute suite à mon annonce de travaux supplémentaires de repassage que je programme pour ce soir après ton alimentation. Sanction niveau 5 faute lourde et je ferai une inspection poussée après les travaux. Tu n’es pas couché, tu peux me croire !! Allez !! au travail et vite !! » MERCI CHEFFE !

On notera dans l’exemple numéro 2 que le soumis ne se souvient pas avoir soupiré mais il ne cherche pas à discuter ou faire jouer son innocence, il ne cherche aucunement à contredire sa Maîtresse.

Il ne discute pas et reste plat. Il sait aussi qu’il faut toujours remercier sa Maîtresse lorsqu’elle décide une sanction.

Il sait ce que pourrait lui couter une remise en question du motif de la sanction. C’est un ancien soumis-esclave déjà très bien rééduqué mais qui a fait une faute, et il va payer. La femme dominante qui le dirige exige d’être appelée CHEFFE.

Contenu des sanctions

Il semble inutile de détailler le contenu des sanctions appliquées. Chaque Maîtresse étant à même de choisir en fonction des caractéristiques de chaque sujet. La sanction doit être à la hauteur de la faute. Une sanction appliquée pour une faute lourde sera idéalement composée de deux éléments.

Exemple : une punition manuelle physique en y ajoutant aussitôt une punition d’ordre psychologique comme :

  • Rallonge de plusieurs mois avant la vidange attendue avec impatience.
  • Plusieurs séances de pénitence à répétition.
  • Suppressions d’autorisations de sorties familiales programmées.
  • Tenues spéciales vexatoires imposées sur plusieurs semaines


Si récidive ou contestation : cumul des sanctions.

Le but ultime étant de bien faire admettre au sujet que la faute commise est grave ou lourde.

Il peut paraitre exagéré d’appliquer une sanction de niveau 5 pour un retard. Ce qui est en jeu ce n’est pas la faute ni sa valeur c’est la parole de la dominante et son niveau d’autorité qui a été bafoué. Le soumis apprendra ainsi que chaque ordre doit être respecté à la lettre et que la faute ne se reproduira pas. L’échelle des valeurs est déterminée par la dominante. Pour certaines un retard de quatre minutes vaudra une sanction niveau 2, pour une autre ce sera une sanction niveau 5. Il faut aussi prendre en compte le fait suivant, la sévérité de la sanction devra être plus importante sur un sujet nouvellement intégré que sur un soumis en appartenance depuis trois ou quatre ans. C’est en particulier durant la première année que le soumis va découvrir la discipline en place et qu’il va prendre ainsi conscience de la détermination de sa dominante pour faire de lui un véritable soumis aux ordres, souple et obéissant parfaitement. Une sanction de niveau 5 marquera bien mieux l’esprit du soumis ce qui est le but.

Fautes domestiques:

Fautes domestiques

taches ou traces après un travail dom.4grave
taches ou traces après un lavage sol4grave
traces de poussière après mission4grave
manque de soins travail aspirateur4grave
manque de soins placards cuisine5grave

Découverte des fautes domestiques :

Les fautes domestiques peuvent être découvertes par la dominante de deux façons. Découverte fortuite ou découverte dans le cadre d’une inspection.

Exemple 1 : Celui d’un soumis nommé Connard rééduqué par une Maîtresse très dure depuis déjà deux ans. Il a été placé la veille en « discipline renforcée » pour 3 mois suite à un relâchement comme l’estime sa Maîtresse. Il ne se révolte plus du tout et rampe totalement car il est terrorisé. Sa Maîtresse vient de faire une découverte fortuite.

« Ici Connard vite ! as tu terminé le lavage du sol de la cuisine ? »
« Oui Maîtresse ! c’est terminé Maîtresse ! «
« Tu as vu toutes les traces ici et là aussi, c’est quoi ce travail Connard ? »
« Je ne sais pas Maîtresse, j’ai rien vu Maîtresse «
« Tu n’as rien vu ? »

Et là ce sont les cris qui débutent, cette Maîtresse est une femme forte et puissante et qui ne laisse rien passer. Le soumis semble maigre et faible:

» Tu seras puni samedi avec une sanction de niveau 4 . En conséquence tu vas me marquer ça sur ton cahier de discipline et au trot. Ensuite tu reprends tout à zéro et toujours à genoux avec ta serpillère, mais avant tu vas chercher ta laisse d’exercice, ton plug de discipline, ma cravache longue et mes baskets pour que je te tienne bien serré et m’assure que tu travailles correctement et à mes pieds. Exécution ! et vite !! et au niveau des sanctions ça va tomber samedi !! Ensuite tu chausses Maîtresse et tu restes complètement nu et tu retires ton tablier Connard ! Tu vas frotter jusqu’à ce soir tard crois moi et je vais t’aider à trouver les traces, tu vas voir… !! De plus, privation de nourriture ce soir comme hors d’œuvre, tu passeras la soirée au coin avec un livre sur ta tête d’abruti, nez collé au mur avec la balle de ping-pong, ça te fera du bien et attention si tu bouges, tu connais le tarif «

« Oui Maîtresse, c’est compris Maîtresse ! »

Exemple 2 : Le soumis en appartenance depuis 5 ans a été chargé de nettoyer à fond les 50 paires de chaussures de sa Maîtresse. Le mardi la dominante décide de réaliser une revue de placard et elle convoque le sujet qui se tient à genoux durant les vérifications. Il va être sanctionné pour faute mais avec 5 ans d’ancienneté il reste de marbre sans ouvrir la bouche.

« Tu as vu cette paire ? le talon gauche est sale, il n’a pas été nettoyé correctement. Pour celle-ci que je porte souvent tu sais pourtant que tu dois nettoyer les traces de transpiration sur la semelle intérieure. Je te sanctionne pour manque de soin dans le travail. Faute niveau 4. Tu retires ton tablier et tu entres dans le placard tout de suite, tu vas y passer la nuit. Tu dormiras ici enfermé et menotté avec ma paire de chaussettes sales attachées sur ton nez et ma culotte sur la tête. La prochaine fois tu feras attention. Privation de nourriture , allez en position dans le placard , je vais chercher les menottes !! » .

Discipline renforcée

Il semble important de détailler le concept de discipline renforcée.
Elle peut être décidée à n’importe quel moment durant la rééducation et postérieurement.
C’est un ensemble de mesures.
Ce n’est donc pas une punition mais un changement de fonctionnement de vie pour le soumis.

Ce qui explique la décision : Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine de la décision et le soumis en sera informé lors de son intégration. La Maîtresse n’a pas à justifier sa décision et celle-ci ne respecte aucun délais tendant à en prévenir le soumis.

Les facteurs : relâchement dans l’action, manque d’écoute, étourderies répétées, comportement ne convenant pas à la dominante, manque de réactivité face à un ordre, fautes répétées, insolence, remise en question d’une décision, attitude désinvolte, manque de respect, moquerie, refus d’une corvée supplémentaire, refus d’une disposition quelconque décidée par la Maîtresse portant sur vie sexuelle du soumis, travail bâclé, vol de nourriture…

Concernant la liste des facteurs , laquelle devra être connue du soumis, celle-ci n’est pas limitative, chaque Maîtresse ayant toute latitude pour la faire grossir. Nous listons ici les points les plus connus.

L’annonce :

Il semble très important de sacraliser la décision. Le soumis devra être prévenu de la disposition en respectant un certain protocole.

  • Soumis convoqué dans une position particulièrement pénible (face fauteuil de commandement par exemple, ce qui est le mieux)
  • Soumis prévenu de la décision à un moment non prévu alors qu’il ne s’y attend pas du tout (très déstabilisant)
  • Soumis prévenu de la décision lors d’un interrogatoire (dimension disciplinaire)
  • Soumis prévenu immédiatement après découverte d’une faute importante (discipline)


Exemple : soumis en appartenance depuis un an.

Viens ici ! Tu m’enlèves ton tablier, tu te places en position accroupi, tes cuisses bien écartées pour que je vois bien ta cage et tes testicules, tes mains croisées sur la tête. J’ai une excellente nouvelle à t’annoncer, tu passes en régime disciplinaire renforcé pour deux mois car je ne suis pas du tout satisfaite de ton attitude générale. Je t’ai observé pendant 15 jours et ça ne va plus du tout. Je te souhaite plus à l’écoute, plus souple et plus rapide dans l’action quand je donne un ordre. Les festivités débutent demain matin à 8h00, inutile de te dire que ta purge prévue fin mars est annulée ainsi que ta sortie familiale du 23 mars prochain. Maintenant tu te lèves et tu reprends calmement le travail ! Et pas un mot !!!!

« Oui Maîtresse ! »

« Bien, c’est parfait ! c’est comme ça que tu dois fonctionner, pas un mot !! Tu vas marcher au pas et dans la cadence, tu peux me croire la vis va être serrée !! »

« Oui Maîtresse, merci Maîtresse ! »

Les mesures liées au régime renforcé :

  • interrogatoires disciplinaires plusieurs fois par semaine
  • régime punitif doublé en cas de sanction
  • augmentation du rythme de travail (chronométrage)
  • augmentation de la quantité de travail
  • suppression des sorties programmées
  • suppression des purges programmées
  • mises à l’isolement une fois par semaine
  • mesures vexatoires répétées
  • contrôles renforcés
  • suppression du droit de parole, le soumis ne peut que répondre aux questions posées. S’il souhaite parler il lève le doigt et attend.
  • port de plug permanent en journée
  • cage courte permanente
  • rasage disciplinaire du crane chaque semaine
  • douche réduite à 2 par semaine eau froide
  • sport sous commandement à la dure avec durées augmentées.


Ecarts de conduite graves, récidives, révoltes, contestations :

Ces comportements sont immédiatement pris en compte avec régime disciplinaire renforcé illimité ou rejet du soumis qui dans ce cas doit aussitôt quitter les lieux.

Vocabulaire

Il semble important de rappeler l’importance du vocabulaire et de la diction. La femme dominante évitera les longs discours sauf lorsqu’elle doit expliquer au sujet le contenu de sa faute, son contexte, et ses conséquences ou lorsque le soumis est convoqué pour explications.

Les ordres sont à inclure dans la discipline. Ils doivent être brefs, secs, vite compréhensibles, prononcés sur un ton calme. Il en sera de même pour l’annonce d’une sanction. Progressivement un soumis bien rééduqué commencera assez vite à fonctionner au doigt dirigé. Il ne faudra pas hésiter à faire les annonces avec le sourire ce qui est très déstabilisant pour un soumis.

Prenons quelques exemples :

  • Avec le sourire, ton monocorde : « STOP !! Arrêt de corvée – plug anal n°2 lubrifiant – en position écart au tapis pour introduction. Tu as une minute !! »
  • Sur un ton doux : « Ici aux pieds avec cahier de discipline je souhaite le regarder et ajouter quelque chose pour samedi »
  • Sur un ton sévère et dynamique : « Tu te dépêches, tu as 3 minutes pour aller t’équiper baskets, string transparent. Pompes, abdo fessiers pour 30 minutes !! »
  • Annonce sanction : « Faute . sanction niveau 5 ! Tu reprends ton travail. Exécution ! »

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