La vie au quotidien
Les premières journées passées avec le soumis LEMUFLE laissent entrevoir un recrutement satisfaisant. LEMUFLE est souple, obéissant et se laisse bien manipuler. On sent chez lui un besoin intense de vivre sous l’autorité d’une femme. Marie-Louise reprenant son travail la semaine suivante, elle consacre beaucoup de temps à la formation de son esclave avec les toutes dernières consignes à respecter durant ses absences au travail. Beaucoup de détails ont déjà été vus dans la semaine mais Marie-Louise ne peut pas s’absenter plus longtemps de l’entreprise. Le soumis connait presque toutes les particularités de vie de sa Maîtresse. Il enregistre bien les ordres. Il sait aussi que pendant l’absence de sa Maîtresse il est bouclé au domicile et est en permanence surveillé à distance et même géolocalisé. Marie-Louise lui a dit qu’elle comptait le garder à son service mais que son dressage durera certainement longtemps car elle souhaite un esclave parfait. La maison est équipée de plusieurs petites caméras permettant à Marie-Louise de tout visionner à distance. LEMUFLE est prévenu qu’un récepteur téléphonique réservé aux appels entrants est branché dans la journée et qu’en cas d’appel il doit répondre à sa Maîtresse et seulement à sa Maîtresse. Toutes les heures il doit appuyer sur un bouton programmé pour signaler sa présence. En effet LEMUFLE recevra des consignes à distance le cas échéant. Pour le reste son téléphone personnel et son ordinateur sont sous clefs, il n’y aura plus accès pendant 3 mois. C’est Marie-Louise qui se chargera d’aller noter les appels ou mails importants et cela une fois par semaine.
Discipline et féminisation
LEMUFLE a découvert les différentes tenues imposées. Dans la journée et pendant les travaux domestiques il est systématiquement vêtu en soubrette. C’est un point sur lequel Marie-Louise est inflexible. Elle souhaite un soumis féminisé. Bas et porte jarretelles, gaine noire, prothèse mammaire, chemisier blanc, perruque et talons hauts. LEMUFLE a connu la même chose chez une précédente Maîtresse et n’est donc pas dépaysé. De plus il supporte très bien les cages de chasteté. Il ne doit ouvrir à personne en l’absence de sa Maîtresse. Chaque soir lorsque sa Maîtresse arrive il sait qu’il doit tout d’abord la déchausser, lui embrasser les pieds avant de lui enfiler ses sandales et ranger ses vêtements. Ensuite c’est l’inspection des travaux ordonnés pour la journée, cravache en main puis la Maîtresse regarde ce que son soumis a préparé à diner. Pour LEMUFLE c’est simple. Son repas se prend à la gamelle au sol après son service et le plus souvent il ne doit consommer que les restes de la veille . Marie- Louise est très dure avec LEMUFLE et ne laisse rien passer. La moindre erreur est sanctionnée par une punition en fin de semaine. Ca marche droit et au pas. Marie -Louise prend un malin plaisir à être la plus « vache » possible pour tester son soumis. Marie-Louise attrape souvent le soumis par l’oreille en y enfonçant profondément ses ongles et en le tirant au travers de la pièce lorsqu’elle lui fait une remarque.
« LEMUFLE ici ! Viens voir cette petite trace sur la plaque de cuisson ? Tu as vu ? c’est inadmissible. Tu n’es qu’un sale porc ! Je vais t’apprendre à travailler correctement. Samedi tu recevras une bonne fessée sur mes genoux, la prochaine fois tu seras plus attentif. En attendant tu te places ici à genoux ! Je vais t’en coller une bonne série sur ta tête de gros cochon !!
– Oui Maîtresse Marie-Louise ».
Mais avant, Marie-Louise tenant le soumis par l’oreille lui fait parcourir toute la pièce en hurlant son mécontentement et en serrant de plus en plus l’oreille de sa victime.
Et comme on l’imagine, LEMUFLE terrorisé, prend aussitôt une série de paires de gifles cinglantes pendant trois ou quatre minutes sans broncher. Il doit ensuite remercier sa Maîtresse d’une voix neutre en lui embrassant les pieds.
LEMUFLE apprend progressivement les rituels que sa Maîtresse met en place et il les accepte. Lorsque Marie-Louise lui dit qu’elle va intensifier la discipline il baisse la tête et remercie sa Maîtresse ce qui amuse beaucoup intérieurement Marie-Louise. Elle en retire une vraie jouissance. Marie-Louise exerce sur son sujet une autorité extrême. Les punitions sont appliquées en fin de semaine, le samedi après-midi.
Marie-Louise a chargé son sujet de concevoir au sous-sol une pièce réservée aux punitions, pièce qu’elle nomme « chambre de dressage ». C’est LEMUFLE en plus du travail domestique qui a en charge d’installer les matériaux et mobiliers commandés sur internet. On y trouve un banc de punition commandé chez un artisan, un siège d’immobilisation commandé chez un autre, un présentoir permettant de suspendre les instruments punitifs, une armoire abritant du matériel pour punition et dressage.
Lorsque Marie-Louise est en colère suite à une faute, elle terrorise son soumis et ce dernier doit ramper sans dire un mot. Ses crises durent parfois une heure ou deux et LEMUFLE est maintenant bien familiarisé. Il sait qu’il doit baisser la tête et se taire. De même lorsque sa Maîtresse traverse une période de mauvaise humeur durant laquelle elle décharge toute son agressivité sur son soumis.
Le sujet a été prévenu durant la première semaine de son intégration qu’il était privé de toute masturbation durant les six premiers mois. Marie-Louise aime par dessus tout utiliser des expressions déstabilisantes. Le stage a été très bénéfique sur ce point puisque tout cela a été développé en détail le dernier jour.
« Tu ne seras vidé qu’en ma présence seulement lorsque je le déciderai. Pendant 6 mois je te souhaite aussi chaste qu’un bon moine. Pour l’instant tu restes en mode fermentation. Tu produiras ainsi un beau sperme à genoux devant ta Maîtresse ».
La dernière trouvaille de la dominante et pour contraindre encore plus le soumis est de l’entrainer à se déplacer avec plus d’élégance en talons hauts. Pour cela elle lui impose deux fois par semaine en soirée des séances d’entrainement qui sont notées. LEMUFLE apprend ainsi à poser correctement ses pieds au sol pour une meilleure stature. Il est porteur d’une minerve et d’un corset. En effet dés le départ Marie-Louise rêvait d’un soumis-esclave très féminisée. Les leçons sont réalisées dans un cadre hautement disciplinaire.
« Je souhaite que tu puisses parfaitement te déplacer en talons très hauts. Quand tu commenceras à progresser tu devras acheter des chaussures de mon choix que nous commanderons sur internet, ensuite tu verras tu n’y penseras plus, ce sera complétement naturel. «
Rééducation
« Je tiens aussi à t’annoncer qu’à compter du mois prochain je vais d’entrainer très régulièrement à la sodomie avec gode ceinture. A ce titre j’ai commandé plusieurs plugs pour t’y préparer et que tu porteras plusieurs fois par semaine quand j’en donnerai l’ordre pour assouplir ta rondelle et ton petit rectum. Je vais d’apprendre les règles d’hygiène à ce sujet. Je souhaite avoir droit de cuissage sur ma servante, ce sera comme ça et pas autrement. Tout cela va devenir totalement naturel »
Bernadette tient à préserver l’intimité de son amie. Toutefois elle se tient au courant de l’avancement des choses et de la progression en soumission de LEMUFLE.
LEMUFLE est en appartenance depuis maintenant trois mois et sa rééducation avance très bien. Marie-Louise utilise des grilles de performance transmises par le centre de formation « Mistress Institut » pour calibrer la progression comportementale de LEMUFLE.
Extrêmement dure, Marie-Louise souhaite maintenant former son esclave à la marche disciplinaire. C’est donc en plus des exercices « hauts talons » que les soirées du soumis sont largement occupées. LEMUFLE fatigué par une dure journée doit se présenter entièrement nu porteur d’un large collier en cuir et de genouillères. A la fin de son service et après son alimentation, LEMUFLE reçoit l’ordre suivant :
« Allez en piste pour une heure de marche disciplinaire, tu vas t’équiper selon mes consignes et tu reviens ici à genoux à mes pieds en m’apportant ma cravache longue ! Exécution ! Ce soir tu vas en baver je te préviens, tu as grand besoin de discipline vu le peu de soin que tu as apporté au repassage de mes jupes cette semaine ! »
LEMUFLE se voit temporairement débarrassé de sa cage de chasteté pendant les exercices. Une longue corde souple est solidement enroulée autour de l’embase pénis-testicules du soumis puis ce dernier lorsqu’il en reçoit l’ordre doit débuter sa marche à quatre pattes dans la maison comme le ferait un gros chien.
Marie-Louise prend systématiquement un malin plaisir à bien tendre la corde afin de commander le rythme de la marche. Si LEMUFLE avance trop vite il est immédiatement tiré par le sexe et trainé vigoureusement en arrière sur 30 ou 50 centimètres glissant alors sur le carrelage jusqu’aux pieds de sa Maîtresse. Il reçoit alors un bon coup de cravache sur les fesses puis une série de gifles. Si la corde est détendue il sait qu’il doit avancer un peu plus vite. Les ordres pleuvent : A droite ! à gauche ! en avant ! plus vite ! lentement ! Stopppp ! faire le beau ! LEMUFLE porteur parfois de ses harnais de cuir se laisse bien commander. Sa Maîtresse est en pleine jouissance constatant une pareille soumission surtout lorsque son soumis fait le beau comme un caniche. Un mâle tenu par le sexe et obéissant. Marie-Louise semble aimer par dessus tout admirer les testicules gonflés et le long pénis libéré de son sujet totalement frustré.
Chaque fin de semaine, en général le vendredi soir, Marie-Louise annonce à son soumis-esclave les motifs des punitions qui vont être appliquées le samedi après-midi en chambre de dressage.
A 14h00 il doit se tenir prêt à genoux devant la porte du local. LEMUFLE ne connait jamais à l’avance le contenu des punitions.
« Tu viens tout d’abord ici sur mes genoux pour une bonne fessée à la raquette de ping-pong. Tu te souviens sans doute de la trace sur la plaque de cuisson. Alors en piste ! »
LEMUFLE est bien dressé, il sait qu’il doit s’allonger avec sa cage de chasteté placée entre les cuisses de sa Maîtresse, ses testicules bien en contact avec les bas de Marie-Louise pour, dit-elle, créer une bonne érection dans la cage courte. Puis la punition tombe pendant 15 minutes jusqu’à obtenir un fessier bien coloré.
« Voilà ! maintenant debout et en position sur le banc punitif. Tu as gagné cette semaine 30 coups de cravache pour avoir volé un biscuit dans le placard puisque tu as été repéré en vidéo. Tu en es bien conscient ? Je vais bien te marquer, tu le mérites.
– Oui Maîtresse je reconnais ma faute et je mérite cette punition Maîtresse
– Alors on y va, nous avons tout notre temps, et tu comptes correctement en remerciant Maitresse à chaque frappe et en ajoutant à voix haute : « je ne prendrai plus de nourriture sans obtenir l’autorisation préalable de ma Maîtresse ». Tu vas avoir de belles petites fesses bien boursoufflées. Ensuite on remonte et je te place au coin car Bernadette vient et je lui montrerai tes fesses bien marquées »
Une fois au rez-de-chaussée, LEMUFLE est placé culotte baissée au coin et perché sur un tabouret avec un écriteau dans le dos : « JE SUIS LEMUFLE UN ESCLAVE VOLEUR DE BISCUIT J’AI ETE SEVEREMENT PUNI PAR MA MAITRESSE. JE NE VOLERAI PLUS DE NOURRITURE. »
« Tu vas rester comme ça en immobilité avec ce livre sur la tête jusqu’à 16h00 ! Et ensuite direction les corvées jusqu’à ce soir ! »
Les questionnaires
Sur les conseils avisés de « Mistress Intitut » Marie-Louise a mis en place des contrôles de connaissances qui ont lieu chaque quinzaine. LEMUFLE a 30 minutes pour répondre aux QCM comportant une dizaine de pages chacun. Les questionnaires sont notés et abordent les thèmes suivants :
- Connaissances des techniques d’entretien de la maison : lavage, repassage, ménage, literie, etc…
- Cuisine et préparation des repas
- Discipline domestique
- Comportement du soumis face à la femme dominante
Les questions sont difficiles et parfois peu claires en vue d’élever le niveau de discernement du soumis esclave.
« Tes résultats au QCM pour un sujet comme toi en pleine rééducation depuis maintenant presque 6 mois sont à la baisse comparés aux deux précédents et en particulier concernant la matière « discipline domestique » où tu m’as fait des réponses assez étonnantes.
A la question 22 tu sembles indiquer que les punitions comme par exemple la /discipline renforcée/ n’ont pas vraiment eu d’action positive sur ton comportement.
A la question 24 tout laisse penser que tu aspires à un peu plus de liberté puisque tu coches la case 3.
Je vais donc prendre les mesures adéquates pour te satisfaire.
1°) Je double le tarif des sanctions afin qu’elles puissent avoir une action positive sur ton comportement. Une punition initialement prévue pour 20 coups de cravache devient 40.
2°) Concernant ton besoin de liberté ma décision est la suivante : privation d’autorisation de sortie pendant 6 mois. Tu devais je crois passer 48h à ton domicile à Genève, et bien c’est annulé tu restes ici aux corvées.
Pour le reste c’est d’une qualité moyenne. Je te conseille de faire des progrès lors du prochain test.
J’espère que tu es satisfait de mes conclusions, maintenant tu reprends le travail et pas un mot . Au trot !! C’est compris LEMUFLE ?
– Oui Maîtresse Merci Maîtresse !
– C’est bien LEMUFLE ! allez ! tu vas voir tu vas finir par marcher à la bonne cadence ! Tu vas progresser.
– Oui Maîtresse !«
Suprématie de la femme dominante
LEMUFLE n’a pas de jours de repos. Les Week-end sont également chargés en corvées puisque Marie-Louise pour certains travaux exige d’être présente pour tout superviser. On pourrait même dire que le samedi et le dimanche sont les jours les plus pénibles pour LEMUFLE qui subit la pression infernale de Marie-Louise qui s’en prend après lui pour la moindre petite chose. Le samedi est en dehors de la séquence « punitions », c’est souvent la journée consacrée à la « suprématie de la femme » selon l’expression apprise en stage par Marie-Louise. Sans prévenir, alors qu’il est en plein travail, LEMUFLE reçoit l’ordre d’aller se placer immédiatement en levrette à la chambre de dressage, avec sa culotte et sa gaine baissée . Préalablement il doit préparer le gode ceinture préféré de sa Maîtresse et le lubrifiant puis il est pris avec force et énergie. Marie-Louise aimant particulièrement diffuser un disque de musique classique pendant l’acte. Aussitôt après il doit retourner au travail toujours en tenue de soubrette sous le regard amusé de sa Maîtresse et sans jamais broncher. LEMUFLE même avec son expérience n’avait jamais connu pareille situation d’abaissement.
Marie-Louise exige un service parfait
Au déjeuner comme au diner, du lundi au dimanche exception faite de quelques soirées lors desquelles Marie-Louise se trouve en compagnie de ses amies au restaurant, ou repas professionnels, LEMUFLE se doit d’assurer avec perfection le service à table de sa Maîtresse.
Marie-Louise adore rendre les choses le plus compliqué possible pour tourmenter sa servante. Le couvert doit être toujours installé au même endroit et selon des règles très précises : position de l’assiette, des couverts, de la corbeille à pain etc… Sa cravache devant toujours être placée à droite de la table.
Après le service de chaque plat et pendant le repas, LEMUFLE a appris à se tenir prêt de sa Maîtresse debout pieds joints bras croisés dans le dos, afin d’intervenir immédiatement à la moindre demande. Il n’est pas autorisé à parler sauf pour répondre à une question de sa Maîtresse. Marie-Louise a pris l’habitude de claquer dans les doigts pour ordonner le changement de plat. Si quelque chose ne lui convient pas dans le service, elle se lève et les paires de gifles commencent systématiquement à tomber.
Comme l’explique Marie-Louise à Bernadette : « Si je commence à relâcher la pression, LEMUFLE reprendra de mauvaises habitudes, je tire sur la bride en permanence. Plus je serre la discipline et plus il est performant. Les hommes sont des porcs donc je le traite comme un porc. »
Le matin, Marie-Louise prend son petit-déjeuner à 7h30 précises. Tout doit être prêt lorsqu’elle arrive, Marie-Louise exige une parfaite coordination. Chaque matin c’est le même cérémonial, la Maîtresse reprend à haute voix la liste des corvées de la journées en insistant sur un point ou sur un autre et en prévenant qu’il y aura une inspection poussée à son retour le soir et qu’au moindre problème ça tombera. On entend les mouches voler quand Marie-Louise donne ses ordres, puis LEMUFLE à genoux chausse sa Maîtresse. Avant son départ, si Marie-Louise est de mauvaise humeur, elle prend parfois le temps de verser dans la gamelle alimentaire en plastique de LEMUFLE l’équivalent d’un bol de café en y ajoutant une tranche de pain beurré qu’elle s’amuse à laisser tremper. Puis plaisir ultime elle ordonne à son esclave de venir tout consommer à ses pieds et sans utiliser les mains qu’il doit garder croisées dans le dos. Elle retire son escarpin droit et appuie sur la tête de son esclave avec l’avant de son pied « Tu manges comme un porc que tu es c’est très bien ! Ensuite au travail !! »
Epilation laser
« Mon nouvel objectif c’est ta pilosité. Je souhaite qu’elle disparaisse presque définitivement, ce sera beaucoup moins contraignant pour toi que de devoir surveiller chaque jour l’état de ton corps. Je n’imagine pas une progression de ta féminisation autrement qu’avec un traitement définitif.
J’ai donc pris rendez-vous dans un centre spécialisé dont la clientèle est majoritairement homosexuelle. Tu vas être traité au laser ce qui annulera presque totalement les repousses. La dépense est importante mais tu as bien assez d’argent sur tes comptes pour t’offrir cela. C’est Maîtresse qui contrôle et décide de tout, tu le sais.
Cela te permettra d’être encore mieux dans ta tête. Je constate depuis un certain temps que tu adoptes naturellement des attitudes de plus en plus féminines et que ta démarche s’améliore vraiment bien, c’est ce que je voulais. Nous allons donc passer commande de plusieurs paires d’escarpins, de bas et d’autres perruques, j’ai repéré de jolis modèles. Tu vas aussi bénéficier d’un traitement pour fortifier ta poitrine. Il est un peu tôt pour que j’envisage ton opération définitive mais cela aura lieu dans l’année. Pour l’instant tu conserves tes prothèses mammaires au quotidien. Quand tu auras été opéré et que tu seras débarrassé de ce que tu as entre les jambes, je pourrai envisager une vie plus normale pour toi. Tu pourras par exemple manger avec ta Maîtresse et tout en maintenant une discipline forte. A compter d’aujourd’hui ongles de pieds vernis et couches périodiques quand je l’ordonne, je viens d’acheter ton matériel. Exécution ! Je pense qu’à ce moment là tu seras totalement rééduqué mais nous n’en sommes pas encore là. Pour l’instant c’est discipline maintenue sans changement et AU PAS !
– Merci Maîtresse !«
Purge
« J’ai décidé d’organiser ta purge samedi. On est dans les délais et je pense que tu es maintenant à point pour libérer un peu de ton sperme. La masturbation se fera bien entendu sous mon contrôle avec un appareil très plaisant que tu découvriras samedi. Tu seras filmé car je donnerai une copie de cette vidéo à Bernadette pour lui montrer ce que j’ai fait de toi. On fera ça à 14h juste avant les punitions de la semaine, et la semaine est chargée en sanctions comme tu le sais. Après les punitions tu seras à nouveau enfermé. »
Le samedi :
« Allez en piste ! Tu arrêtes tes corvées et tu files en chambre de dressage entièrement nu avec seulement tes bas jarretelles et tes ballerines et tu te dépêches, allez !! au pas !! »
Une fois en chambre de dressage :
« Inutile de t’expliquer, tu vois bien que l’appareil qui est fixé sur cette table et sous tes yeux reproduit très fidèlement le fessier le sexe et l’anus d’une belle jeune femme. J’ai testé la matière c’est à s’y méprendre. Il est juste à ta hauteur. Je te libère de ta cage et je te lubrifie mais avant on va laisser un peu de temps à ton pénis pour qu’il puisse reprendre un peu de vitalité après 6 mois d’enfermement.
Je ne veux aucun signe de complexe LEMUFLE, je veux t’entendre jouir et je veux que tu te libères totalement en toute quiétude et décontraction. Tu vas me faire un beau jet, tu n’éjaculeras pas dans son vagin tu te vides ici dans cette assiette car je veux voir ton sperme. Voilà, on dirait qu’il commence à grossir. Tu me diras lorsque tu seras prêt pour l’introduction.
– Oui Maîtresse, je suis prêt Maîtresse.
– Tu sembles impatient, on voit que depuis 6 mois tu es enfermé et bien tenu
Alors tu t’installes dans le vagin et tu marques un temps d’arrêt pour une érection complète avec un pénis bien dur et bien ferme, cette jeune femme souhaite avoir des sensations.
– Oui Maîtresse !
– Quand je dirai « tu pompes » tu commences à bien limer
– Oui Maîtresse !
-Je souhaite un rythme bien régulier et tu fais durer en te retenant bien. Je t’observe.
Allez ! Tu pompes !
– Oui Maîtresse !
– C’est confortable ? Poses tes mains sur les fesses du mannequin !
– Oh Oui Maîtresse !
– Tu continues à bien limer. C’est ta récompense mais après ce sont les punitions tu le sais.
– Oui Maîtresse, je sais.
– Tu ressorts et tu là prends dans son petit anus puis tu reviens au vagin.
Tu fais durer, tu accélères puis tu enfonces bien jusqu’aux testicules qui doivent frapper ses fesses . Tu prends ton temps, il faut que tu sois à la hauteur et que tu lui donnes du plaisir. Tu frottes bien son clitoris, voilà très bien !!
On dirait que ça va déjà sortir.
– Oui Maîtresse ça commence à venir.
– Attention tu gicles dans l’assiette !! sinon punition !
C’est bien, allez tu te vides bien !! Tu as été rapide ! Quel beau sperme, une quantité importante à ce que je vois !
– Oui Maîtresse
On remettra la cage après les punitions mais avant tu vas manger devant moi ce yaourt dans lequel j’ajoute ton sperme et tu dégustes bien.
Prochaine purge dans 6 mois.
– Oui Maîtresse ! Merci Maîtresse !«