Punitions

Il apparaît nécessaire de revenir en détail sur l’aspect punitif dans le cadre d’une vie réussie aux côtés d’un sujet soumis. La première chose semble être de mettre en garde les jeunes femmes dominantes sur un fait très fréquent. Beaucoup de soumis vont rechercher la punition car ils y trouvent un support pour leur jouissance et leur plaisir. Il faudra en conséquence dès le départ bien observer le sujet et en tirer des conclusions. Un sujet « demandeur » en punitions n’est pas une bonne chose car cela laisse entendre qu’il souhaite jouer et assouvir ses fantasmes puis ensuite se désolidariser de l’appartenance. Nous mettons en garde les femmes dominantes face à ce type de candidat. Même un sujet s’inscrivant comme masochiste ne réclamera jamais une punition.

Plusieurs éléments semblent importants et positifs au départ de la relation :

  • Le soumis aura une attitude d’abandon, il n’offre pas de résistance face aux décisions de la dominante et il ne fait aucune demande.
  • Le soumis attendra avec patience de découvrir les différents modes punitifs et pratiques en place chez sa dominante.
  • Le soumis ne réclamera jamais une punition, une mesure contraignante ou quelconque aménagement.

Il semble important que la dominante au tout début de l’intégration explique dans la plus grande transparence que la discipline qu’elle compte mettre en place va générer des sanctions et donc des punitions plus ou moins sévères. Il semble important de ventiler les éléments disciplinaires en plusieurs catégories :

  • La communication avec le sujet soumis
  • Les contraintes imposées
  • Les sanctions décidées
  • Les punitions appliquées

Prenons quelques exemples :

Communication :

  • convocations pour explications et reprises en mains,
  • série de paires de gifles,
  • fessée simple,
  • cravache simple,
  • rappels verbaux en position disciplinaire vexatoire,
  • menace de punition.
  • ordres fermes
  • infantilisation

Contraintes et sanctions

Nous le savons, les contraintes ne se rapportent pas à des punitions. Elles sont là pour recentrer la discipline et accélérer la rééducation lorsque la dominante l’estime.

  • imposer cage de chasteté plate,
  • privations de sorties familiales,
  • augmentation du rythme de travail,
  • surveillance et contrôles augmentés,
  • vexations vestimentaires,
  • plug de discipline imposé sur plusieurs jours,
  • affronts en public,
  • modification de la sexualité.

Les sanctions quant à elles, annoncent les punitions, les qualifient, exposent les motifs.

Punitions

Elles traduisent en actions les sanctions. Elles sont annoncées juste avant l’action punitive souvent sans prévenir à l’avance.

Exemple pour ce soumis en appartenance depuis quatre mois grâce à une annonce trouvée dans une messagerie spécialisée.

« Tu arrêtes immédiatement ta corvée de repassage et tu montes avec moi en salle de dressage. Aujourd’hui pour changer tu monteras l’escalier à genoux entièrement nu avec seulement ton collier et je te tiendrai en laisse. Tu recevras ta punition suite à la sanction prévue et inscrite sur ton cahier de discipline mardi. Tu reprendras le boulot après ta punition. Ce sera 40 coups de cravache en comptant. La prochaine fois, tu écouteras mieux les consignes de ta Maîtresse car tu n’es pas assez attentif. Ça va faire un bon rappel de discipline. Et on prendra ma cravache rouge celle que tu aimes bien et qui colore bien tes fesses et tu répéteras comme d’habitude que tu aimes bien mes punitions. »

« Oui Maîtresse ! »

Et pendant la punition le soumis doit compter :

“1. Merci Maîtresse c’est bon j’aime ça Maîtresse ! , 2. Merci Maîtresse c’est bon j’aime ça Maîtresse ! …… »

Les fautes, erreurs et manquements sur une semaine type sont inscrits sur le cahier de discipline par le soumis dès lors que la dominante fait une remarque même simple. Chaque soir la dominante fait relecture du cahier et munie d’un stylo rouge elle inscrit la lettre S pour chaque événement méritant à ses yeux une sanction. La Maîtresse selon l’organisation qu’elle préfère peut appliquer les punitions au fil de l’eau ou en mode groupage. En mode groupage c’est souvent un forfait hebdomadaire avec rappel des différentes erreurs. En règle générale le forfait est appliqué le samedi ou le dimanche après convocation lors de laquelle sont rappelés les motifs et la nature du forfait.

Exemple pour un soumis – esclave de 60 ans pourtant totalement dressé et rééduqué qui est en appartenance chez une Maîtresse du même âge depuis cinq ans. La Maîtresse sur sa chaise haute toise son sujet, ses deux pieds posant sur le crâne lisse du sujet et déclare :

« Erreurs et manquements de cette semaine : Retard impardonnable de 30 minutes dans les travaux domestiques de mercredi, traces d’urine découverte sur la cuvette de mes WC, deux verres cassés jeudi, et j’allais oublier ta réflexion de lundi lorsque tu as osé me dire que tu étais fatigué car tu avais trop de travail. Le forfait punitif s’élève donc à 50 coups de paddle, 25 en cuir, 25 en bois comme d’habitude. Tu retires ton tablier, entièrement à poil, et tu m’apportes ton gros collier canin en cuir. Ensuite on va au sous-sol et ça va tomber, je suis en pleine forme. Je suis certaine que tu ne recommenceras pas. Debout et tu files te préparer !! et au pas de gymnastique ! »

« Oui Maîtresse ! »

Entretenir le climat avec menaces de punition

La femme dominante exercera nous le savons une surveillance attentive sur le comportement et le travail du soumis. Elle entretiendra un climat de crainte chez le soumis qui se révèlera très efficace. Prévenir le soumis qu’à la moindre incartade il encourt une sanction et donc une sévère punition participe largement au succès de l’opération. Terroriser un soumis semble d’après les témoignages recueillis une très bonne formule payante.

Une Maîtresse face à son soumis nouvellement recruté :

« Ce matin tu l’as vu sur ton cahier de discipline tu me fais toutes les vitres du salon. Je souhaite que ce soit impeccable. Si je trouve la moindre trace, on monte aussitôt et tu vas t’en souvenir. Et tu respectes les délais car tu as une grosse journée de travail jusqu’à ce soir tard. Allez !! au travail !! et au trot. Inspection dans deux heures. Tu es prévenu sinon tu le sais ça va tomber. Maintenant ce sera discipline renforcée jusqu’à ce que tu rampes totalement. Je vais te mettre plus bas que mes semelles »

Les formes de punitions

La femme dominante déterminera les punitions en fonction de la bonne connaissance de son soumis. Certains craindront plus les coups que d’autres. Mais pour autant il existe d’autres formes de punitions.

  • Enfermement en cage,
  • punition électrique,
  • pinces sur seins et sur testicules,
  • station sur plaque équipée de punaises …..

etc ….

Exemple pour un soumis âgé et confirmé surnommé « ducon » placé entre les mains d’une jeune dominante de 40 ans et sans pitié :

« Ducon ici ! Je viens de faire le bilan de ta semaine sur ton cahier de discipline, on cumule tout de même quatre remarques et convocations, six erreurs, et deux étourderies. Ce n’est pas supportable chez un soumis confirmé comme toi. Je décide donc d’une punition exemplaire. A 14h00 je prépare le matériel pour une bonne séance d’électro stimulation de trois heures. Je sais que tu adores ça. Crois moi je vais te faire danser, tu vas déguster et tu vas t’en souvenir. Privation de repas à midi et en attendant tu files de placer jusqu’à 14h30 debout avec tes pieds bien à plat sur la plaque à punaises avec les mains sur la tête. Il fallait t’y attendre ça te pendait au bout du nez et tu vas payer cher et en bloc. Et pas un mot, exécution ! La plaque à punaise posée dans le coin ici et vite !! »

« Oui Maîtresse ! «

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