Comme chaque matin je vais consulter mes mails. Au milieu des pubs et autres infos inintéressantes, je vois un message de Lise… Une très bonne amie. J’ouvre et je lis
« Mon chéri, c’ est le week-end et tu vas avoir du temps de libre. Alors j’ ai pensé que tu pourrais me rendre une petite visite… amicale. En t’attendant je vais me mettre nue et me menotter mes poignets et mes chevilles. Pour toi. J’ ai pris un somnifère pour que cette attente passe plus vite et que mon excitation ne m’empêche pas de m’ endormir. Je suis déjà trempée. A tout à l’ heure mon chéri. Tu trouveras les clés comme d’ habitude ».Hummm…
C’était un excellent début de matinée et une belle journée en perspective. Il était 9 h, le temps que le somnifère s’ estompe, j’ en avais pour environ 3 heures.
Je voulais arriver juste avant qu’elle ne se réveille, mais qu’elle soit encore dans le coton et totalement lascive. Ça me ferait arriver vers midi.
Je préparais tranquillement le matériel nécessaire à son plaisir.. enfin presque. Je ne pouvais pas m’ empêcher de penser aux délices que je j’allais lui prodiguer.
Vers 11 h je pris ma voiture et me rendis chez elle, de plus en plus ‘‘chaud’’.
Elle habitait une maison sympa un peu en dehors de la ville. Je me garais, ouvris je portail et arrivé devant la porte d’ entrée je récupérais les clés à l’endroit habituel. J’entrais doucement à l’ écoute du moindre bruit. Apres avoir visité chaque pièce, je la trouvais dans sa chambre. Couchée sur son lit et enfouie sous sa couette. Apparemment elle dormait toujours.
Je posais mes affaires et me mis à l’ aise. Je repartis fermer la porte d’entrée et en revenant je m’ approchais du lit et en douceur; je fis glisser la couette. Elle était dos à moi. Je découvris ses épaules, puis ses bras, je continuais jusqu’à ses fesses, ses cuisses et enfin ses pieds. Elle était magnifique.
Une grande bouffée de désir s’empara de moi. Ses chevilles et ses poignets étaient menottés… comme promis !
Parfait. Je ne pu résister plus longtemps à l’ envie de la caresser. Mes mains commencèrent par ses pieds tout en douceur, s’attardèrent sur ses chevilles entravées, puis remontèrent le long de ses jambes jusqu’à ses fesses. Au bout de quelques minutes de cette démonstration d’affection, son bassin commença à ondoyer.
Elle n’ allait pas tarder à recouvrer ses esprits. Avant que cela n’ arrive je lui retirais les menottes pour lui remenotter ses poignets dans son dos. Je lui mis un masque sur ses yeux et je repris mes caresses. Je luis caressais les bras, son cou, son visage et en la faisant pivoter un peu vers moi, je me délectais de ses seins pleins et souples. Son corps de plus en plus réceptif montra sa satisfaction en accentuant ses ondoiements. Il était temps de rajouter des menottes à ses coudes… ce que je fis. Hummm j’ adore. Je la fis basculer à plat ventre et j’entrepris une fouille minutieuse de son entrejambe. Mes doigts glissaient en aller retour de son sexe rasé, jusqu’à son anus… lentement. Elle commençait à gémir et se réveillait en douceur.
De plus en plus consciente elle se rendit compte que ses poignets et ses coudes étaient menottés dans son dos. Elle tira dessus comme pour vérifier que c’était bien la réalité. Elle gémit de plus belle et balbutiât quelque chose comme « c’ est toi mon chéri ? » la voix encore chargée de somnifère. Pour toute réponse je lui enfonçais d’ un coup et profondément deux doigts dans son sexe déjà largement trempé. Elle poussa un petit cri aigu et tout son corps se tendit d’ un coup, puis elle se laissa aller à son plaisir. Elle adore ça et moi aussi. Je continuais de lui fouiller son sexe en même temps que je lui malaxais ses fesses. Puis je retirais mes doigts.
C ‘était le moment que je boive un café.
Je la laissais comme ça, menottée incapable de se relever et émettant toutes sortes sons traduisant son plaisir. Une fois le café coulé , je pris ma tasse et revins dans la chambre, et m’assis au bord du lit profitant pleinement du spectacle. Elle roulait à droite, à gauche, sur le dos, sur le ventre. Elle se tendait, se relâchait en émettant des Haaaa…. des hmmmmm, des oui étouffés. En attendant de finir mon café je décidais de parfaire son enchaînement. Je la mis sur le ventre. Je lui claquais un peu ses fesses au passage et je lui menottais ses poignets avec ses chevilles. Elle gémit. Je la retourna sur le dos. Elle était superbe comme ça. Bien cambrée, ses cuisses s’ ouvraient toutes seules. J’ entrepris de lui pétrir ses seins à pleine mains, de faire rouler ses tétons entre mes doigts… quel plaisir. « Tu es bien comme ça ma chérie ? » Elle me répondit avec un « Ouuuuiiiiii ».
« Je vais te mettre des pinces à tes tétons ». Aussitôt elle me répondit avec des « non, non! s’ il te plaît pas les pinces ! mon chéri non pas ça ! »
Mais comme je n’ avais rein entendu, je saisis un téton entre mes doigts, ce qui la fit frémir et emprisonna son téton dans une pince… bien serrée et traita le second de la même manière. Oh! la pauvre elle poussait de petits cris ! Pour la consoler je l’ embrassais à pleine langue un long moment tout en jouant avec les pinces de ses seins. J’ avais très envie de la faire jouir. De la masturber, là tout de suite un peu primitivement. De la sentir se débattre et vibrer sous mes doigts. Etant donné son état d’ excitation ça n’aurait prit que 3 minutes. Pour effacer cette vison redoutablement tentatrice rien de tel que de bosser un peu. Comme j’ avais quelques coups de fils à passer je choisi cette option. Avant je pris tout de même soin de la bâillonner avec un gros sparadrap. Parfait. Sa respiration et ses narines dilatées montraient tout son bien être. Je la laissais à ses contorsions et divers gémissements, sachant qu’ elle allait profiter pleinement de sa situation.
Quand je revins 3/4 d’ heure plus tard, je me rendis compte qu’elle s’était rendormie ! Qu’à cela ne tienne. J’ allais en profiter pour la changer de position. Je retirais les menottes qui joignaient ses poignets à ses chevilles et lui étendis les jambes. Ensuite je lui mis une chaîne autour de sa taille. Bien serrée. Je fixais une autre chaîne à celle de sa taille dans son dos. Je fis passer la chaîne entre ses cuisses, sur son sexe et la fis remonter jusqu’à la chaîne de sa taille à laquelle j’avais fixé un anneau. Je fis passer la chaîne dans l’ anneau et fixais l’extrémité de la chaîne à ses chevilles que je remontais très haut sous ses fesses. De sorte que quand elle voudrait étendre ses jambes elle serait obligée de tirer sur la chaîne, qui elle même presserait sur son sexe… Ensuite je lui enlevais les menottes qui retenaient ses poignets dans son dos, pour la menotter devant.. Menottes que je fixais à la même chaîne qui allait jusqu’à ses chevilles. Je laissais les menottes à ses coudes ce qui restreignait de beaucoup ses mouvements. Second avantage cette position faisait jaillir sa poitrine en avant.
Elle était allongée si l’ on peut dire, sur le dos. Là j’entrepris de la réveiller en claquant un peu ses joues, ses fesses, ses cuisses, ses seins et bien sur son sexe. Elle finit par se réveiller et son premier réflexe fut de vouloir étendre ses jambes. Il s’en suivit un Haaaa ! aigu et étouffé quand la chaîne fit son office et pressa son sexe et son clitoris. Elle voulut bouger ses poignets et se rendit compte que cela provoquait exactement le même effet. En fait dès qu’elle bougeait la chaîne écrasait son sexe. Elle recommença plusieurs fois. Et chaque fois les mêmes haaaaa ! aigus et une respiration de plus en plus saccadée. Elle se contorsionnait en tirant sur sa chaîne. Un vrai régal. Je l’ encourageais en lui malaxant sa poitrine et tordant un peu ses tétons qui avaient doublés de volume.
C’était un véritable délice de l’ enchaîner. Je repris mes caresses tout en la faisant rouler d’un côté de l’ autre sans trop de compassion. Réduite à l’ état d’ objet sexuel, elle adorait être manipulée dans tous les sens. Que du plaisir. Puis je l’installa sur le dos. Ses cuisses s’ouvrirent instantanément comme un fruit mûr et juteux. Totalement abandonnée, sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration courte tout en faisant tourner voluptueusement ses poignets dans les bracelets de ses menottes. Haletante elle gémissait de plaisir. C’ était le moment que j’ avais choisi pour la mettre à contribution « Te voilà prête ma chérie. Maintenant tu peux te caresser « .
Aussitôt elle s’agita et tira sur ses menottes, ce qui l’ excita encore plus, elle gémit tout en ayant un mouvement de tête qui voulait dire : « Non ! ho ! » Elle aimait que je « l’oblige » à faire devant moi ce qu’elle faisait de temps à autres dans son intimité. Cela lui donnait un petit sentiment de honte qui venait se rajouter à son plaisir. Elle continua en bredouillant des mots incompréhensibles à cause de son bâillon. Au début elle se contentât de glousser en continuant de se tortiller comme si elle ignorait mes paroles. C’était une question de patience. Comme dit le proverbe : tout vient à point……etc… Ce n’était que plus excitant de la regarder jouer les pudiques alors qu’elle était franchement et totalement impudique.. pour le moins.
Puis insidieusement ses mains commencèrent à s’animer. Lentement son excitation se communiqua à ses doigts qui à leurs tour entrèrent en action. D’abord par petits effleurements et attouchements sur son bas ventre. Ses mains toutes proche de son sexe, il suffisait qu’elle tire un peu sur ses menottes pour y arriver. Ce qu’elle entreprit en creusant un peu son ventre et se contorsionnant pour faciliter le déplacement. On a rien sans rien.
Arrivés à destination ses doigts s’enhardirent et entamèrent un balais sensuel autour de son sexe. Je la regardais pousser sur son bassin, ouvrir encore ses cuisses sur son sexe assoiffé de désir. Je poussais de coté la chaîne qui passait sur celui-ci pour qu’elle ait un plein accès.
Ses caresses devinrent instinctivement plus précises. Ses doigts s’activaient maintenant sur sa vulve gonflée et dégoulinante. J’adore la regarder se masturber.
Elle se tortillait et n’arrêtait plus de gémir, de glousser, de pousser de petits cris. Je lui retirais alors son bâillon pour mieux profiter de son plaisir.
Ses doigts couverts de son miel glissaient maintenant le long de ses lèvres jusqu’à son clitoris puis redescendaient pour aller explorer et s’engouffrer dans son orifice vaginal. Elle était aux anges. Tout son corps respirait une sensualité presque animale. Seul son plaisir comptait.
Elle retirait ses doigts, puis recommençait, son sexe avide les engloutissant de plus en plus profondément. C’était bon. Elle adorait se caresser menottée.
Je la laissais se donner du plaisir un long moment, puis sentant son plaisir s’amplifier un peu trop, je saisi alors les menottes des ses poignets pour les fixer à la chaîne qui enserrait sa taille, de sorte qu’elle ne puisse plus avoir accès à son sexe. Bien évidemment elle protesta à grand renfort de « ho ! noooonnn !! noooonnn ! » implorait elle. Pour la réduire au silence et lui donner une petite compensation je lui fourra dans sa bouche deux doigts qu’ elle se mit à lécher et à sucer avidement. Apres ce petit intermède je retirais la chaîne qui passait entre ses jambes, pour la fixer directement au plus près de ses poignets à ses chevilles.
Cette position l’ obligeait à garder ses jambes repliées très haut et offrait ses fesses captives et soumises à ma gourmandise. Je la fis rouler sur le coté, ses fesses sans défense juste devant moi. Je les pris à pleines mains pour les claquer, les pétrir et les caresser un long moment, puis l’ une de mes mains se fraya un chemin entre ses cuisses et captura son clitoris gonflé sans ménagement. Elle adorait que je l’ emprisonne entre mes doigts. Que je le palpe, le presse, le pince que je le malaxe, le claque.
Elle se tordait de plaisir totalement asservie par son excitation provoquée par ces délicieux tourments. Elle se tendit et extériorisa sa profonde satisfaction avec des, hooouuiiii ! étranglés à répétition. Je pris tout mon temps….. Tout en continuant ma torture clitoridienne je glissais une main jusqu’à son anus dans lequel je fis pénétrer un doigt. Pénétration accueillie par un Haaaaaaaaaa! Je commença à le dilater en le fouillant et le bourrant méticuleusement.
Un deuxième doigts vint rejoindre le premier pour participer à l’épanouissement de son orifice. Ses contorsions redoublèrent, ses râles de délectation aussi. Je la fouillais lentement, de plus en plus profondément . Ses gémissements augmentèrent de fréquence et d’intensité, son souffle de plus en plus fort. Tout son corps gigotait dans ses menottes m’offrant son cul bien ouvert.
Je fourrais mon autre main dans son sexe. Ses cuisses tressaillaient, son corps était secoué par des spasmes. Elle poussait des « oui, oui, ho ouiiiii… ne t’ arrête pas! ». Son visage enfoncé dans l’ oreiller elle tirait sur ses menottes qui la retenait prisonnière. Elle vibrait de tous ses membres. Son plaisir gagnant irrésistiblement en intensité, elle explosa dans un râle aigu qui dura une éternité.
Puis son corps s’ affaissa d’ un coup. Repue. Vidée. Comblée. Je la caressais doucement, le temps qu’elle reprenne ses esprits…